Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Upen d'Aval : Différence entre versions

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L'origine est encore inconnue, elle était bâtie sur une propriété privée. Des travaux ont été fait à partir de 1835.
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L'origine de l'église est inconnue, elle était bâtie sur une propriété privée. Des travaux ont été fait à partir de 1835. Une rénovation a été assurée en 1854-1858 sous la direction de l'architecte Libersalle. Le clocher a été élevé en 1886 sous la direction de l'architecte Colbrant.
  
La cloche datant de 1875 était baptisée Marie Félicie. Elle a été volée en 1990, lors de travaux de rénovation.
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La cloche en bronze datant de 1875, avait été fondue par Drouot. Baptisée Marie Félicie, elle avait un diamètre de 78 centimètres<ref>[[Roger Rodière]], ''Épigraphie du Pas-de-Calais'', tome {{V}}, canton de Lumbres, page 365.</ref>. Elle a été volée en 1990, lors de travaux de rénovation.
  
Egalement touchée par la tempête de 1990, elle fut restaurée et réouverte en 1992.
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Les vitraux sont signés Cambier (Lille).
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Version du 6 juin 2012 à 22:29

Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Upen d'Aval
Defaut.svg
Informations
Dédicace Notre-Dame de l'Assomption
Dates de construction
Particularités
Classement
Accessibilité


L'origine de l'église est inconnue, elle était bâtie sur une propriété privée. Des travaux ont été fait à partir de 1835. Une rénovation a été assurée en 1854-1858 sous la direction de l'architecte Libersalle. Le clocher a été élevé en 1886 sous la direction de l'architecte Colbrant.

La cloche en bronze datant de 1875, avait été fondue par Drouot. Baptisée Marie Félicie, elle avait un diamètre de 78 centimètres[1]. Elle a été volée en 1990, lors de travaux de rénovation.

Les vitraux sont signés Cambier (Lille).

L'église a été fortement touchée par la tempête de 1990, elle fut restaurée et réouverte en 1992. Mais la tempête aura détruit une partie du mobilier datant du XIXe siècle.

Notes

  1. Roger Rodière, Épigraphie du Pas-de-Calais, tome V, canton de Lumbres, page 365.
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