Église Saint-Martin de Blingel : Différence entre versions

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Cette modeste église de village en craie date du XVIIIe siècle.  
 
Cette modeste église de village en craie date du XVIIIe siècle.  
  
Elle a une architecture très simple: une seule nef orientée, une façade recouverte d'ardoises flanquée d'un contrefort, surmontée d'un petit clocher, des ouvertures en plein-cintre dans les murs gouttereaux qui ne sont pas flanqués de contreforts mais renforcés par des fers d'ancrage, et un chevet à trois pans dans lequel est percée une porte.
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Elle a une architecture très simple: elle est orientée (tournée vers l'est), avec une nef très légèrement plus haute que le choeur, une façade recouverte d'ardoises flanquée d'un contrefort, surmontée d'un petit clocher, des ouvertures en plein-cintre dans les murs gouttereaux qui ne sont pas flanqués de contreforts mais renforcés par des fers d'ancrage, et un chevet à trois pans dans lequel est percée une porte.
  
 
Elle a été endommagée par l'explosion du pont voisin sur la Ternoise à l'été 1944, au départ des Allemands.  Le manque de moyens financiers a empêché que sa restauration se fasse à l'identique. C'est ainsi, par exemple, que la sacristie, démolie à cette occasion-là, n'a jamais été reconstruite.
 
Elle a été endommagée par l'explosion du pont voisin sur la Ternoise à l'été 1944, au départ des Allemands.  Le manque de moyens financiers a empêché que sa restauration se fasse à l'identique. C'est ainsi, par exemple, que la sacristie, démolie à cette occasion-là, n'a jamais été reconstruite.

Version du 26 février 2012 à 16:02

Église Saint-Martin de Blingel
Informations
Dédicace Saint-Martin
Dates de construction XVIIIe siècle
Particularités absence de sacristie
Classement
Accessibilité


Cette modeste église de village en craie date du XVIIIe siècle.

Elle a une architecture très simple: elle est orientée (tournée vers l'est), avec une nef très légèrement plus haute que le choeur, une façade recouverte d'ardoises flanquée d'un contrefort, surmontée d'un petit clocher, des ouvertures en plein-cintre dans les murs gouttereaux qui ne sont pas flanqués de contreforts mais renforcés par des fers d'ancrage, et un chevet à trois pans dans lequel est percée une porte.

Elle a été endommagée par l'explosion du pont voisin sur la Ternoise à l'été 1944, au départ des Allemands. Le manque de moyens financiers a empêché que sa restauration se fasse à l'identique. C'est ainsi, par exemple, que la sacristie, démolie à cette occasion-là, n'a jamais été reconstruite.

A noter, le très modeste clocher perché sur la façade occidentale, autrefois clocher-mur dont la maçonnerie est recouverte d'un crépi de ciment et surmontée d'un petit toit qui supporte la croix sommitale. Un caisson de charpente recouvert d'ardoises renferme la cloche.

Sa toiture est actuellement en travaux.