Chapelle Sainte-Marie de Coupelle-Neuve : Différence entre versions

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La chapelle n'apparaît pas sur le cadastre napoléonien des années 1830, elle a dû être érigée à la fin du {{XIXe}} siècle. Elle appartient à la famille Henguelle depuis des générations. [[Roger Rodière]] décrit une chapelle à Notre-Dame-Auxiliatrice vers 1903, « simple construction en paillotis », rue de Ruisseauville. C'est très probablement celle-ci qui fut restaurée et transformée en 1930. Elle a connu sa réfection intérieure en 1974. On a repris des éléments de l’ancienne porte pour les incorporer au travail de ferronnerie qui isole le chevet du reste de la construction.
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Version actuelle en date du 4 juin 2014 à 20:46

Chapelle Sainte-Marie de Coupelle-Neuve
Coupelle-Neuve chapelle 1.jpg
Informations
Dédicace sainte Marie
Dates de construction 4e quart du XIXe siècle
Particularités
Classement
Accessibilité privée


Descriptif

Implantée rue de Ruisseauville à Coupelle-Neuve, parallèlement à la route, la chapelle est devancée d'une allée secondaire et entourée de massifs bas de vivaces.

La chapelle bâtie en brique jaune est éclairée par deux fenêtres latérales en plein cintre, et couverte d'un toit à croupes sur chevet plat. Des modénatures en brique marquent le haut des murs excepté celui de façade. Son pignon mitré découvert est percé d'une entrée en plein cintre également, et surmonté d'une croix en brique. Une grille ouvragée ferme l'accès à l'autel, la porte dans son encadrement rayonnant inscrit dans ses volutes une croix ainsi que les initiales « H J » (H pour Henguelle). Le plafond lambrissé a été peint en bleu azur, et la niche surmontant l'autel en bleu de France. On accède à la chapelle par trois marches menant à une courte allée marquée par deux pilastres en brique s'achevant par 5 degrés, qui devaient autrefois soutenir un portail.

Historique

La chapelle n'apparaît pas sur le cadastre napoléonien des années 1830, elle a dû être érigée à la fin du XIXe siècle. Elle appartient à la famille Henguelle depuis des générations. Roger Rodière décrit une chapelle à Notre-Dame-Auxiliatrice vers 1903, « simple construction en paillotis », rue de Ruisseauville. C'est très probablement celle-ci qui fut restaurée et transformée en 1930. Elle a connu sa réfection intérieure en 1974. On a repris des éléments de l’ancienne porte pour les incorporer au travail de ferronnerie qui isole le chevet du reste de la construction.

Galerie

Sources et bibliographie