Communauté de communes des Vertes Vallées : Différence entre versions
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| + | La Communauté de Communes des Vertes Vallées comptait 7301 habitants en 1999 représentant 4% de la population du territoire de l’Arrageois et 0,5% de la population du Pas-de-Calais. La densité de population est de 60 hab./ {{km2}} ce qui est très inférieur la moyenne départementale (216 hab./{{km2}}) et à la moyenne du territoire de l’Arrageois (138 hab./{{km2}}). Une seule commune, [[Rivière]], regroupe plus de 1000 habitants et plus d’une commune sur deux ont moins de 300 habitants. | ||
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| + | Après une hausse de la population entre 1975 et 1990, il est à noter une inversion du solde de population avec une perte d’habitants (-1,7%) sur la dernière période intercensitaire (1990-1999) en opposition avec la tendance Départementale (+ 0,6%). | ||
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| + | La perte d’attraction du territoire s’exerce principalement sur la classe d’âge des 20-39 ans qui ne représente plus que 25% de la population du territoire (27,5% à l’échelle Départementale). À contrario, les 40-59 ans (27,4% contre 24,5) et les plus de 60 ans (21,4% contre 19,9%) y sont surreprésentés. | ||
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| + | *Les caractéristiques du territoire sont principalement tirés du Contrat territorial de développement durable entre le département du Pas-de-Calais et la Communauté de communes des vertes vallées (signé le 30 novembre 2007) ; et de la synthèse du diagnostic communautaire établi dans le cadre de l'élaboration des Plans Locaux d’Urbanisme intercommunaux de la Communauté de Communes des Vertes Vallées (avril 2011). | ||
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Version actuelle en date du 13 décembre 2013 à 21:46
| Communauté de communes des Vertes Vallées | |
|---|---|
 | |
| Administration | |
| Code SIREN | 246201164 |
| Forme d'intercommunalité | Communauté de communes |
| Siège | 3 ter rue du Château à Bailleulval |
| Création | 21 décembre 2001 (Arrêté préfectoral) |
| Président | Michel Petit |
| Budget | |
| Site web | |
| Statistiques | |
| Communes | 21 |
Sommaire
Origine
- Devient Communauté de communes La Porte des Vallées à compter du 1er janvier 2013, suite à la fusion avec la Communauté de communes du Val de Gy.
- La Communauté de communes des Vertes Vallées était un petit Établissement Public de Coopération Intercommunale (EPCI), créé par arrêté préfectoral du 21 décembre 2001 entre 21 communes représentant alors 7 420 habitants[1]. Son siège s'est d'abord trouvé à la mairie de Berles-au-Bois, avant d'être dans l'ancienne école de Bailleulval.
Compétences
- Actions de développement économique
- Aménagement du territoire
- Politique du logement et du cadre de vie
- Protection et la mise en valeur de l'environnement
Composition
Elle était composée de 21 communes : Adinfer, Bailleulmont, Bailleulval, Basseux, Berles-au-Bois, Berneville, Blairville, Boiry-Saint-Martin, Boiry-Sainte-Rictrude, Ficheux, Fosseux, Gouy-en-Artois, Hendecourt-lès-Ransart, La Cauchie, La Herlière, Monchiet, Monchy-au-Bois, Ransart, Rivière, Simencourt, Warlus.
Repères sur le territoire
Repères géographiques
Le territoire de la Communauté de Communes des Vertes Vallées est inscrit dans le plateau de l’Artois (altitude moyenne de 100 mètres), dans une zone de grandes cultures qui dessinent un paysage ouvert rythmé par la présence de bourgs et de vallées qui sont d’ouest en est, l’Ugy, le Crinchon et le Cojeul. Le plateau de l’Artois se caractérise par un sous-sol crayeux perméable permettant l’infiltration, recouvert d’une couche de limons imperméables. Cette couche est plus ou moins affleurante sur le territoire pouvant engendrer des ruissellements de surface. La nature fertile de ce sol constitue un atout pour l’activité agricole. L’agriculture intensive y est d’ailleurs fortement présente.
Le territoire de la Communauté de Communes des Vertes Vallées s’étend sur vingt et une communes soit une superficie de 122 km2 . Il est sous l’influence de l’aire urbaine d’Arras auquel il est relié par cinq infrastructures routières principales (RD 919, RD3, RD 1, RN 25, RD 59). Toutes ses communes sont identifiées comme périurbaines c’est-à-dire qu’au moins 40% de leur population résidente ayant un emploi, travaille au sein de l’aire urbaine d’Arras[2].
Le territoire de la Communauté de communes des Vertes Vallées ne renferme aucun site protégé ou inventorié pour la qualité de ses milieux naturels.
Repères démographiques
La Communauté de Communes des Vertes Vallées comptait 7301 habitants en 1999 représentant 4% de la population du territoire de l’Arrageois et 0,5% de la population du Pas-de-Calais. La densité de population est de 60 hab./ km2 ce qui est très inférieur la moyenne départementale (216 hab./km2 ) et à la moyenne du territoire de l’Arrageois (138 hab./km2 ). Une seule commune, Rivière, regroupe plus de 1000 habitants et plus d’une commune sur deux ont moins de 300 habitants.
Après une hausse de la population entre 1975 et 1990, il est à noter une inversion du solde de population avec une perte d’habitants (-1,7%) sur la dernière période intercensitaire (1990-1999) en opposition avec la tendance Départementale (+ 0,6%). La baisse de la population sur la Communauté de Communes des Vertes Vallées s’explique par un solde migratoire très négatif (-3,1%) comparativement au solde naturel (+1,3%). Cette réalité intercommunale cache une forte variabilité d’une commune à l’autre. Globalement, une moitié des Communes gagne de la population, l’autre en perd.
La perte d’attraction du territoire s’exerce principalement sur la classe d’âge des 20-39 ans qui ne représente plus que 25% de la population du territoire (27,5% à l’échelle Départementale). À contrario, les 40-59 ans (27,4% contre 24,5) et les plus de 60 ans (21,4% contre 19,9%) y sont surreprésentés.
Sources
- Les caractéristiques du territoire sont principalement tirés du Contrat territorial de développement durable entre le département du Pas-de-Calais et la Communauté de communes des vertes vallées (signé le 30 novembre 2007) ; et de la synthèse du diagnostic communautaire établi dans le cadre de l'élaboration des Plans Locaux d’Urbanisme intercommunaux de la Communauté de Communes des Vertes Vallées (avril 2011).
