Couvent des Trinitaires d'Arras : Différence entre versions
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* Michel Tillie, Commission diocésaine du Pas-de-Calais, Le Joyel d'Arras | * Michel Tillie, Commission diocésaine du Pas-de-Calais, Le Joyel d'Arras | ||
* Collectif, ''Villes et villages du Pas-de-Calais en 1790'', Mémoires de la Commission Départementale d'Histoire et d'Archéologie, Tomes 1-2-3, 1990. | * Collectif, ''Villes et villages du Pas-de-Calais en 1790'', Mémoires de la Commission Départementale d'Histoire et d'Archéologie, Tomes 1-2-3, 1990. | ||
| − | * Héricourt et Godin, Les rues d’Arras 2003, reprise de l’édition de 1856, vol. 1. | + | * Héricourt et Godin, ''Les rues d’Arras'' 2003, reprise de l’édition de 1856, vol. 1. |
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Version du 24 août 2013 à 15:27
| Couvent des Trinitaires d'Arras | |
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| Informations | |
| Dénomination | {{{denomination}}} |
| Lieu | {{{lieu}}} |
| Dates d'existence | 1219 - 1792 |
| Ordre religieux | trinitaires (hommes) |
| État actuel | une partie du cloître est conservée |
| Classement | |
| Accessibilité | |
Sommaire
Historique
Les trinitaires sont fondés à Arras en 1219 par Jean de Matha dont la statue figure dans la cathédrale d'Arras. Les trinitaires allaient au risque de leur vie délivrer les captifs chrétiens tombés aux mains des infidèles. Établis d’abord au faubourg de Saint-Vincent à Ronville, le couvent fut détruit en 1640. Les religieux s’installent dans l’hôpital Saint-Nicolas près de l’abbaye Saint-Vaast, puis s’établissent dans l’hôtel de Marescaille, rue d’Amiens à Arras. Ils vendent cet hôtel pour créer un monastère à l’emplacement de l’ancien grand séminaire d'Arras. On y comptait encore 8 religieux en 1790. La chapelle fut vendue le 21 février 1792.
Description
Une partie du cloître a été conservée.
Sources
- Michel Tillie, Commission diocésaine du Pas-de-Calais, Le Joyel d'Arras
- Collectif, Villes et villages du Pas-de-Calais en 1790, Mémoires de la Commission Départementale d'Histoire et d'Archéologie, Tomes 1-2-3, 1990.
- Héricourt et Godin, Les rues d’Arras 2003, reprise de l’édition de 1856, vol. 1.
Notes
