Territoire
Toponymie
- Formes anciennes du nom de la commune [1] : Falcoberg, vers 935 (Cartulaire Sithiense, p. 138), Falcomberga, Xe siècle (Acta. SS., febr. I, p. 680, n° 17 ; vita sancti Bertulphi), Falcamberga, fin Xe siècle (Gaignères, t. II, p. 10), Falcenberga, 1119 (mémoires Société académique de Boulogne-sur-Mer, t. XII, p. 55), Falkemburga, 1142 (Du Chesne, mon de Guînes, preuves, p. 215), Falkenberge, 1146 (chartes de Saint-Bertin, n° 201), Flacamberga, 1168 (Gallia Christiana, t. X, instr., col. 406), Falkenberga, 1175 (Cartulaire Sithiense, p. 264), Faukenberga, 1197 (chartes de Saint-Bertin, n° 416), Falconis mons, XIIe siècle (Acta. SS., apr. t. II, p. 681 e ; vita beati Bernardi pœnit.), Fauconberge, 1202 (Cartulaire de Saint-Omer, folio 46 verso), Falgoberga, 1243 (chartes d'Artois, A. 9, n° 1), Falcoberga, 1251 (Galametz, prieuré de Saint-André, p. 458), Faulquenberghe, 1257 (chartes de Saint-Bertin, n° 1045), Faukembergues, 1266 (Galametz, op. cit., p. 459), Falquemberga, 1290 (chartes d'Artois, A. 33), Fauquemberke, 1293 (chartes d'Artois, A. 38), Faukenberge, 1299 (chartes d'Artois, A. 149, n° 3), Folkemberghe, 1340 (mémoires Société académique de Boulogne-sur-Mer, t. IX, p. 368), Fauquenberghe, 1364 (chartes de Saint-Bertin, n° 1720), Faulkembergue, 1368 (Giry, reg. municip., n° 102), Franquemberghe, 1403 (mémoires Morinie, t. XXVII, p. 58), Faquebergue, 1442 (cloche de Grigny), Falquemberghe, 1444 (mémoires Morinie, t. XIV, p. 41), Fauckembergue, 1446 (Cartulaire de Thérouanne, p. 295), Faulcquembergue, 1475 (chartes de Saint-Bertin, n° 3579), Faulkenberge, XVe siècle (Terrier B de Thérouanne, folio 147 verso), Fauquemberg, 1720 (Saugrain, p. 335) [2]. Formation germanique de falkenberg = le mont des faucons.
- Hameaux et lieux-dits : Pont à Place (nom de quartier cité au moins dès le XVIe siècle, à partir du pont sis sur un bras de l'Aa. Le deuxième terme est de signification obscure),Le Hamel(formation médiévale, le hameau, explicite), La Forêt (la ferme de la Forêt est une construction du Second Empire, liée au défrichement de l'ancienne forêt des comtes), le Rietz-Vilain (lieu-dit, assez explicite (des mauvaises terres, liées aux marécages) devenu quartier d'habitat (lotissement de 1970)), la Briqueterie (nommé ainsi du fait de l'établissement industriel du début du XXe siècle (une maison de maître et un coron de quelques maisons ouvrières)).
Cadre administratif en 1789
Fauquembergues, en 1789, faisait partie du bailliage de Saint-Omer et avait une coutume locale rédigée en 1507 suivant la coutume d'Artois. Son église paroissiale, d'abord diocèse de Thérouanne, puis de Boulogne, doyenné de Fauquembergues, était consacrée à saint Léger et avait Saint-Martin-d’Hardinghem pour secours ; le roi de France présentait à la cure [3].
Histoire
Les origines de Fauquembergues
- Le nom de Fauquembergues remonte à l’époque où notre région parlait une langue germanique, c’est-à-dire entre le VIe et le IXe siècle, puisqu’il vient de Falko-berg, qui signifie : "le mont des Faucons". Cependant l’espace fauquemberguois a connu des occupations humaines depuis la préhistoire.
- D’abord parcouru par des groupes de chasseurs préhistoriques (acheuléens, moustériens), puis cultivé par les agriculteurs néolithiques vers 3000 avant J.-C., il faut attendre l’époque gallo-romaine pour que l’espace fauquemberguois s’organise : des traces de cadastrations antiques ont été décelées à la briqueterie où l’on a découvert un ensemble funéraire datant de la fin du Ier siècle.
- A la fin de l’époque romaine, l’espace fauquemberguois semble intégré dans un vaste domaine dépendant de Renty (du gallo-romain Rentiacum : "domaine de Rentius").
- Puis les invasions barbares et leurs conséquences intègrent Fauquembergues dans le royaume franc. Le mont des faucons, installé sur un éperon dominant l’Aa, est probablement une forteresse franque. Au VIIe siècle, le comte du Ternois, Wambert, maître du domaine de Renty, crée à proximité la première église dédiée à Saint Martin. Il appelle Saint Bertulphe qui fonde vers 700 une abbaye à Renty.
- Quelques siècles plus tard, Fauquembergues connaît les invasions normandes et en 918, c’est dans ses environs immédiats que se termine la dernière équipée normande dans le Nord de la France : de hardis vikings remontant de la Normandie y sont vaincus par une armée royale commandée par Raoul de Bourgogne.
Le premier apogée du bourg (XIe- XIVe siècle)
- Ce n’est pas avant l’an 1100 que l’on reparle de Fauquembergues. À cette date, une famille chevaleresque a bâti une solide forteresse sur l’ancien Mont des Faucons et ces seigneurs de Fauquembergues sont aussi châtelains de Saint-Omer. Tout au long du XIIe siècle, ils renforcent leur puissance qui s’étend, vers 1200, des rives de la Canche à la Flandre maritime.
- À l’ombre du château, se construit un bourg où dominent déjà les activités artisanales et commerciales, favorisées par l’existence d’une classe aristocratique nombreuse. Les vicissitudes politiques entraînent l’incendie du bourg en 1198, et, en 1222, le seigneur Guillaume V accorde une charte de franchise aux Fauquemberguois afin de favoriser la reconstruction économique. Le bourg s’entoure d’un rempart, percé de trois portes (dénommées Garlet, Guilborde, et Boulenoise) et connaît son premier apogée. Les activités économiques s’y développent, et les marchands fauquemberguois parcourent le Nord et la France.
- Signe de prospérité, on édifie une magnifique église érigée au rang de collégiale quand le fastueux Guillaume V la dote d’un chapitre de chanoines en 1242.
Un bourg frontière (XIVe-XVIIe siècles)
- Avec le XIVe siècle s’ouvre une nouvelle période pour Fauquembergues qui connaît alors troubles, guerres, et calamités.
- La guerre de Cent Ans qui ravage la France n’épargne guère le bourg, incendié à plusieurs reprises. Une bataille y est même évitée en 1355, l’année avant Poitiers. Les remparts tombent en ruines, tout comme le château abandonné par ses maîtres.
- Les bourgeois de Fauquembergues peinent à conserver leur autonomie vis-à-vis de la puissante ville de Saint-Omer. Les activités économiques s’étiolent et, en 1479, le bourg compte à peine 600 habitants. Les hasards de la politique font que Fauquembergues devient, à partir de 1492, une place frontière entre l’Artois, autrichien (1492-1513), puis espagnol (1513-1677), et le Boulonnais français. Le bourg est alors ravagé par toutes les invasions qui déferlent avec la guerre (en 1522, 1536, 1542, 1554, 1638).
- Il est en 1554 le lieu d’une bataille entre les Français commandés par Henri II et les Impériaux de Charles Quint (bataille de Renty – Fauquembergues). Entre-temps, la seigneurie est passée à la puissante famille des Princes de Ligne dont les officiers locaux doivent partager le pouvoir avec l’échevinage. Le doyenné est maintenu lors de la partition du diocèse de Thérouanne en 1559 : il est alors rattaché à Boulogne.
- Cette situation troublée est préjudiciable aux activités économiques et vers le milieu du XVIIe siècle, Fauquembergues apparaît comme un bourg complètement ruiné. Ses halles ont disparu, l’église a perdu son chœur et son transept, les maisons sont détruites. Les Bénédictines qui avaient installé une maison religieuse au début du XVIIe siècle, illustrée par Jeanne Deleloë, une mystique typique de la renaissance catholique du siècle, doivent s’exiler à Poperinghe. Le bourg se relève difficilement : il ne compte que quelques centaines d’habitants vers 1700.
La seconde croissance (XVIIIe-XIXe siècles)
- Le XVIIIe siècle est une période de paix et Fauquembergues se relève de ses ruines. L’activité économique reprend, soutenue par :
- la création d’un franc marché en 1742,
- l’ouverture de la route royale en 1779,
- l’installation de moulins à papier vers 1785.
- Fauquembergues apparaît comme une société d’artisans et de commerçants, dominée par quelques gros négociants et par les hommes de lois qui assurent la direction de l’échevinage.
- Signe de la prospérité recouvrée, on reconstruit suivant un urbanisme nouveau qui procède à l’alignement des maisons le long de rues étroites ; l’église se dote d’un porche de style néoclassique ; la vieille société d’archers « Saint Sébastien » reprend quelque vigueur ; et surtout l’essor démographique est réel. Le bourg atteint le millier d’habitants à la veille de la Révolution. Une nouvelle phase de défrichements est entamée qui touche avant 1780 le bois du Rapoy et qui se poursuivra au siècle suivant par la mise en culture de la Forêt.
- La Révolution fait de Fauquembergues un chef-lieu de canton. Elle assure surtout d’une manière définitive le pouvoir des notables locaux qui dirigeront la municipalité pendant presque deux siècles… et ne semble gêner en rien l’essor de la bourgeoisie observé jusqu’en 1880 environ.
- Pendant la plus grande partie du XIXe siècle, la France vit au rythme des chefs-lieux de cantons, et Fauquembergues connaît son apogée, avec une population qui dépasse le millier d’habitants. Les rues, rebaptisées vers 1840, grouillent d’activités artisanales et commerciales (bâtiment, brasseries, moulins, etc..), mais surtout le marché reprend de la vigueur et devient de plus en plus important. Signe des temps, les notables construisent ces maisons si caractéristiques, avec une porte cochère, et l’espace bâti se développe.
- Ce sont ces notables, issus pour la plupart des professions libérales, qui dirigent la municipalité, confortés dans leur position tout d’abord par l’administration, puis par l’électorat à mesure que s’étend le suffrage universel. Les Fauquemberguois, au milieu du siècle, adhèrent dans leur grande majorité à un bonapartisme qui rejette à la fois toute velléité de retour à l’Ancien Régime, et tout excès révolutionnaire. La dynastie des Senlecq ou des Ogiez dominent alors la vie politique.
- Sur le plan des mentalités, on ne conteste guère le pouvoir des notables, mais l’on se montre un peu plus critique vis-à-vis de l’Église, glissement sensible vers la République, pour laquelle on vote en majorité dans les années quatre-vingt-dix, sous l’égide de Charles Jonnart.
Transformations et mutations (XXe siècle)
- Après 1880 commence cependant une période de déclin relatif. Les activités, soutenues encore jusqu’en 1914, grâce à la création en 1880 de la ligne de chemin de fer Anvin-Calais, ou à l’installation de la briqueterie, s’étiolent par la suite. Peu à peu, le marché perd de sa vitalité et Fauquembergues subit les effets de l’exode rural. À la veille de la Seconde guerre mondiale, sa population n’est plus que de 840 habitants.
- Depuis la Seconde guerre mondiale, Fauquembergues a connu la plus profonde mutation de son histoire. Le bourg reste un centre rural qui offre des services aux quelques villages environnants (commerces, collège, associations), mais de plus en plus il s’inscrit dans la zone d’attraction de la région audomaroise qui vient de connaître un essor industriel. Cela n’a pas été sans modifier ses équilibres sociologiques, et depuis 1968, les travailleurs indépendants du commerce, de l’artisanat et de l’agriculture ne constituent plus guère la majorité de la population active.
- Jusqu'en 1977, la commune est administrée par des maires plutôt conservateurs qui savent accompagner les évolutions en cours (école primaire sous Raoul Guilbert, collège sous Norbert Ritaine, lotissements sous Robert Courtin). Depuis cette date, sous les majorats de Camille Dupuis et d'Alain Méquignon;, la commune est entrée dans la voie de la décentralisation, mais aussi de son implication dans des structures locales de niveau supérieur, tel le SIVOM en 1973, devenu depuis SIVU, puis la Communauté de Communes en 1993. Dans ce cadre nouveau, mais aussi de par la volonté des équipes municipales, de grands travaux ont pu être conduits: rocade en 1981, lotissements divers, nouveau bureau de poste en 1987, salle des fêtes en 1983, profondément restaurée en 2010, implantation d'éoliennes, gendarmerie, aménagement de la place, etc..).
Patrimoine
Patrimoine religieux
Les calvaires :
- Le calvaire situé route d’Audincthun, près de la ferme de la Forêt, a été érigé au début des années 1960 par M. Paul Libaux, propriétaire des lieux.
- Le grand calvaire situé rue de Renty, au mur sur rue des bâtiments de l’exploitation agricole de M. Pierre Heuel, réalisé en béton et protégé d'un auvent avec couverture en tuiles, a été érigé en 1946 par Mme Heuel Dumont, en reconnaissance pour son mari revenu de captivité.
- Une niche dédiée à Sainte Thérèse a été aménagée rue de Fruges, dans le mur de la dernière bâtisse en sortie de village.
Patrimoine éducatif
- Les écoles primaires
- Le pensionnat
Patrimoine économique
- Les moulins
- La gare
- Distillerie, brasserie et malterie dite Distillerie Senlecq, puis Brasserie Savaete.
- Moulin à papier Lourdel, puis centrale hydro-électrique Senlecq, puis Leroy, puis Marcant, puis Hénon
- Briqueterie Blaret, puis Coquempot, actuellement magasin de commerce et usine de fabrication de matériaux de construction
- Moulin Sockel, puis minoterie Mannessier
Patrimoine judiciaire
Fauquembergues a été de 1790 à 1958 le siège d'une justice de paix.
Patrimoine commémoratif
Infrastructures et équipements
Vie quotidienne
Les associations d'hier et d'aujourd'hui
- La Patriotique (1912)
- Étoile sportive Fauquemberquoise (1943)
- Association d'éducation populaire (1951)
- Association des parents d'élèves de l'école Notre-Dame du Bon Conseil (1952)
- Comité d'histoire du Haut-Pays (1972)
- Grenier Découvertes
- Société Saint Sébastien. C’est l’une des plus vieilles sociétés d’archers du Nord de la France, puisqu’on trouve la trace de ses premiers statuts à la date de 1467. On y pratique le tir à la perche. Président : M. Claude Denys
- Les Echos de l’Aa: Société de musique fondée en 1865. Les Echos de l’Aa relevaient de leur participation les principales manifestations fauquemberguoises et des environs. Nombreuses sorties. Président : André Chochoix . Association dissoute à la fin des années quatre-vingts
- Compagnie des sapeurs-pompiers. Réorganisée en 1887, elle existait au moins depuis 1843. Aujourd’hui, elle se compose de 12 sapeurs. Elle a disparu dans les années 2000.
- Société de chasse: elle défend les intérêts des chasseurs, constitue des réserves. Président : Ernest Cadet
- La Gaule fauquemberguoise: société de pêche fondée en 1957. Elle concourt à la lutte contre le braconnage et la pollution des rivières, encourage la surveillance de la pêche, assure la destruction des nuisibles et le repeuplement des cours d’eau. Présidents : Raoul Wintrebert, Raoul Petit
- Association des anciens combattants et victimes de guerre de Fauquembergues. Cette association fondée en 1964 a regroupé plusieurs associations anciennes dont la plus vieille date de l’entre deux guerres. Ses buts sont de resserrer les liens d’amitié, de conserver et de célébrer le culte des morts, de défendre les droits des anciens combattants et des victimes de guerre. Président : Robert Marquant, Marc Royez, Raoul Petit
- Entente commerciale. Association fondée en 1965 pour sauvegarder les intérêts du commerce. Président : André Chochoix. Elle a été remplacée par la suivante
- ACAFE: Association fondée en 1965 pour sauvegarder les intérêts du commerce. Président : Serge Sambourg, Eric Leroy
- Club du troisième âge. Fondé en 1971, ce club vise à resserrer les liens entre les personnes du troisième âge. Présidents successifs : Mme Bayart, Mme Farcy, Charles Leduc
- Amicale des sapeurs pompiers de Fauquembergues. Fondée en 1972 pour resserrer les liens entre les pompiers actifs et retraités. Présidents successifs : Georges Cornuelle. (1972-….), Bruno Mauffait
- Syndicat d’initiative de la haute vallée de l’Aa, puis Office de Tourisme du canton de Fauquembergues. Fondé en 1977. Ses buts sont d’aider au développement économique et culturel par le tourisme et d’animer la cité. Sa manifestation importante fut longtemps le Dodécathlon (1979-1986). Depuis 1988, les bureaux del’OTSI sont installés au 8, de la rue de Saint-Omer. Présidents successifs : Gilbert Lambrechts (1977-1979), Philippe Fayeulle (1979-1983), René Lesage (1983-1988), Philippe Mathieu (1988-1989), Thierry du Wicquet (1989-1991), Robert Jourdain (1991-1997), Gérard Accart (1997-1999), Guy Leroux (1999-2000), puis à partir de 2003 Francis Joly (dans le cadre de la CCCF)
- Souvenir français. Comité cantonal de Fauquembergues. Organisé en 1980, il vise à conserver la mémoire de ceux qui sont morts pour la France et veille à l’entretien des tombes et monuments. A son actif, la restauration du monument à ceux qui sont morts pendant la guerre de 1870. Présidents successifs : Robert Marcant, André du Wicquet, Régis Lombart
- Sports et détente. Association fondée en 1980. Elle offre aux habitants de Fauquembergues et sa région la possibilité de pratiquer les disciplines suivantes : gymnastique d’entretien, gymnastique et danse, tennis de table, judo, marche, course à pied. Présidents successifs : Ghislaine Lefrère (1980-1984), Bertrand Pruvost, Ghislaine Merlier
- Fauquembergues-Rencontres. Fondée en 1982, cette association vise à resserrer les liens entre les Fauquemberguois et a publié une revue éphémère. Président : Bertrand Pruvost. Association dissoute en 1989
- Comité des Fêtes de Fauquembergues. Fondé en 1996. Présidents: Bruno Mauffait, puis Nathalie Flouret
Des hommes et des femmes
Démographie
Évolution démographique (Sources : Cassini[4] et INSEE[5])
1793
| 1800
| 1806
| 1821
| 1831
| 1836
| 1841
| 1846
| 1851
| 1856
|
750
| 1 003
| 827
| 928
| 1 010
| 948
| 979
| 987
| 1 066
| 1 024
|
1861
| 1866
| 1872
| 1876
| 1881
| 1886
| 1891
| 1896
| 1901
| 1906
|
1 057
| 1 075
| 1 005
| 1 071
| 1 088
| 992
| 997
| 983
| 935
| 953
|
1911
| 1921
| 1926
| 1931
| 1936
| 1946
| 1954
| 1962
| 1968
| 1975
|
882
| 860
| 820
| 765
| 806
| 892
| 842
| 882
| 942
| 901
|
1982
| 1990
| 1999
| 2006
| 2007
| 2008
| 2009
| 2010
| 2011
| 2012
|
884
| 845
| 856
| 950
|
| 968
|
|
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|
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De 1962 à 1999 : Population sans doubles comptes. Depuis 2006 : Population municipale. |
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Les maires
Les adjoints au maire
- 1953 [6] et 1959 [7] : Raoul Guilbert.
- 1971 [8] : Robert Courtin.
- 1983 [9] : Michel Mauconduit, René Lesage, Raoul Wintrebert, Claudine Routier.
Personnalités diverses
Religieux
Les natifs de Fauquembergues décorés de la Légion d'Honneur
Galerie photo
Vers la galerie d'images...
Rempart de terre au pied de l'ancien château, rue de Fruges aujourd'hui
Cortège historique de Jeanne d'Arc
Notes et liens
Bibliographie
- Alain Hurtevent, « L'érection de Fauquembergues en ville franche », Bulletin historique du Haut-Pays n° 2, Comité d'histoire du Haut-Pays 1973.
- Philippe Gode, « Le monnayage de la Seigneurie de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 6, Comité d'histoire du Haut-Pays 1974.
- René Lesage, « Sondage archéologique de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 7, Comité d'histoire du Haut-Pays 1975.
- René Lesage, « Un mur du Moyen Age à Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n°8, Comité d'histoire du Haut-Pays 1975.
- Pierre Courtin, « Une concession de fief à Fauquembergues en 1221 », Bulletin historique du Haut-Pays n° 8, Comité d'histoire du Haut-Pays 1975.
- Robert Dufour, « L'église de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 8, Comité d'histoire du Haut-Pays 1975.
- Philippe Gode, « Une mesure à grains découverte à Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 9, Comité d'histoire du Haut-Pays 1975.
- René Lesage, Philippe Gode, « Fauquembergues : carrière de la rue d'Arras », Bulletin historique du Haut-Pays n° 10, Comité d'histoire du Haut-Pays 1976.
- Rober Dufour, « Un voyage en chemin de fer de Fauquembergues à Merck-Saint-Liévin en 1883 », Bulletin historique du Haut-Pays, n° 10, Comité d'histoire du Haut-Pays 1976.
- Philippe Gode, « Légende sur une monnaie de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 16, Comité d'histoire du Haut-Pays 1978.
- René Lesage, « Quelques enseignes de Fauquembergues au 16e siècle », Bulletin historique du Haut-Pays n° 17, Comité d'histoire du Haut-Pays 1979.
- Robert Dufour, « L'échevinage de Fauquembergues au 18e siècle », Bulletin historique du Haut-Pays n° 19, Comité d'histoire du Haut-Pays 1980.
- René Lesage, « Éléments pour servir à l'histoire de la Musique de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 20, Comité d'histoire du Haut-Pays 1980.
- [Document], « Une chanson satirique recueillie à Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 22, Comité d'histoire du Haut-Pays 1981.
- René Lesage, Michel Royez, « La famille Royez de Fauquembergues », Dossiers généalogiques n° 1, Comité d'histoire du Haut-Pays 1981.
- Jean-Paul Garbe, « Les premières élections municipales de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 23, Comité d'histoire du Haut-Pays 1982.
- Thierry du Wicquet, René Lesage, « L'église de Fauquembergues vers 1600 », Bulletin historique du Haut-Pays n° 24, Comité d'histoire du Haut-Pays 1982.
- René Lesage, « Notes sur le patrimoine de la Collégiale de Fauquembergues à la veille de la Révolution », Bulletin historique du Haut-Pays, n° 24, Comité d'histoire du Haut-Pays 1982.
- René Lesage, « La collégiale de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 27, Comité d'histoire du Haut-Pays 1984.
- Thierry du Wicquet, « Un portrait de l'abbé Delannoy curé doyen de Fauquembergues mort en 1865 », Bulletin historique du Haut-Pays, n° 28, Comité d'histoire du Haut-Pays 1984.
- René Lesage, « Quelques documents relatifs au Comice agricole de Fauquembergues sous la Monarchie de Juillet (1839-1846) », Bulletin historique du Haut-Pays, n° 30, Comité d'histoire du Haut-Pays 1986.
- Zacharie Senlecq, « Stances à Fauquembergues [poème] », Bulletin historique du Haut-Pays n° 33, Comité d'histoire du Haut-Pays 1987.
- Jean Becquelin, « Souvenirs du "Tortillard" de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 36, Comité d'histoire du Haut-Pays 1988.
- René Lesage, « Contribution à l'histoire de la Révolution à Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 37-38, Comité d'histoire du Haut-Pays 1989.
- Philippe May, « La ferme de la Forêt à Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 39, Comité d'histoire du Haut-Pays 1990.
- René Lesage, « Historique du groupe Fillerin (Renty-Fauquembergues) », Mémoires de guerre n° 2, Comité d'histoire du Haut-Pays 1990.
- Elie Gilquin, « Quelques aspects obscurs de l'histoire de Fauquembergues au Moyen Age », Bulletin historique du Haut-Pays, n° 41, Comité d'histoire du Haut-Pays 1991.
- René Lesage, « Drôle de guerre et invasion à Fauquembergues (septembre 1939-juin 1940) », Mémoires de guerre n° 4, Comité d'histoire du Haut-Pays 1992.
- André du Wicquet, René Lesage, « Le monument aux morts du Souvenir Français de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays, n° 48, Comité d'histoire du Haut-Pays 1994.
- [Document], « Le dîmage de Fauquembergues au XVe siècle », Bulletin historique du Haut-Pays n° 49-50, Comité d'histoire du Haut-Pays 1995.
- René Lesage, « Documents relatifs à la vie politique Fauquembergues (1934-1939) », Bulletin historique du Haut-Pays n° 51-52, Comité d'histoire du Haut-Pays 1996.
- René Lesage, « La paroisse de Fauquembergues à la veille de la seconde guerre mondiale », Bulletin historique du Haut-Pays, n° 53-54, Comité d'histoire du Haut-Pays 1997.
- Philippe May, « Les contrats de mariages de Fauquembergues (1731-1733) », Dossiers généalogiques n° 13, Comité d'histoire du Haut-Pays 1997.
- René Lesage, « La vie politique à Fauquembergues dans le premier XXe siècle », Bulletin historique du Haut-Pays n° 55-56, Comité d'histoire du Haut-Pays 1998.
- Relevés Pierre Gryson [mise en forme M. Rochas], « Table des mariages de Fauquembergues (1698-1792) », Dossiers Généalogiques n° 16, Comité d'histoire du Haut-Pays 2000.
- Elodie Caux, « L'église de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 61-62, Comité d'histoire du Haut-Pays 2001.
- René Lesage, « Petit-Landrecies (6 générations), Fauquembergues », Dossiers généalogiques n° 22, Comité d'histoire du Haut-Pays 2006.
- René Lesage, « Les écoles de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 74, Comité d'histoire du Haut-Pays 2008.
- René Lesage, « La place de Fauquembergues », Bulletin historique du Haut-Pays n° 76, Comité d'histoire du Haut-Pays 2010.
- Daniel Bruges, « La gendarmerie de Fauquembergues sous l’Occupation », Bulletin historique du Haut-Pays, n° 77, Comité d'histoire du Haut-Pays 2011.
- Michel Champagne, les Monsigny, in "Vieilles familles du Boulonnais et du Haut-Pays, tome 4", Groupement généalogique de la Région du Nord, AM 483, octobre 2012, pages 35-108.
- Sophie Léger, Maxence Watelle, L'église Saint-Léger de Fauquembergues : une ancienne collégiale à l'architecture atypique, collection Le Patrimoine en Poche, sous-collection Trésors cachés des églises du Haut-Pays d'Artois, Comité d'histoire du Haut-Pays 2013.
- Sophie Léger, « Fauquembergues, Fruges, Hucqueliers, Lumbres : les bourgs-centres du Haut-Pays d'Artois et leur patrimoine bâti », dans Les bourgs-centres en milieu rural. Actes du 57e colloque de la Fédération des sociétés savantes du nord de la France. Dimanche 16 octobre 2016 - Fauquembergues, 2017, Comité d'histoire du Haut-Pays, pages 88-112.
Liens externes
Notes
- ↑ Présentation de la forme ancienne du nom de la commune : Graphie ancienne, année de la mention, source dans laquelle apparaît la mention.
- ↑ Auguste comte de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, 1907
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- ↑ Auguste comte de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, 1907
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- ↑ Population avant le recensement de 1962
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- ↑ Recueil des actes administratifs de la préfecture du Pas-de-Calais. Numéro spécial du 5 août 1953. Tableau nominatif des maires et adjoints du département du Pas-de-Calais élus en 1953.
- ↑ Recueil des actes administratifs de la préfecture du Pas-de-Calais. Numéro spécial. Tableau nominatif des maires et adjoints du département du Pas-de-Calais élus en 1959.
- ↑ Recueil des actes administratifs de la préfecture du Pas-de-Calais et Bulletin d'informations administratives. Tableau nominatif des maires et adjoints du département du Pas-de-Calais élus en 1971.
- ↑ Recueil des actes administratifs de la préfecture du Pas-de-Calais de 1983. Tableau nominatif des maires et adjoints élus suite au renouvellement général des conseils municipaux des 6 et 13 mars 1983.