François Blondiaux (1895-1917) : Différence entre versions

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[[Fichier:François BLONDIAUX.jpg|vignette|droite|Photographie courant guerre du Caporal François Blondiaux, mort le 23/10/1917 à l'Allemant (Aisne)]]
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[[Fichier:François_BLONDIAUX_.jpg|vignette|droite|François BLONDIAUX, photographie courant guerre, avant sa mort le 23/10/1917]]
<big>'''François Louis Joseph Gabriel BLONDIAUX (1895 - 1917)'''</big>
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François Louis Joseph Gabriel Blondiaux est né le 25 Mars 1895 à [[Richebourg|Richebourg-Saint-Vaast]]. Il est le fils cadet de Louis Désiré Fortuné Blondiaux et de Catherine Marie Rose Blondiaux, cultivateurs [[Richebourg|Richebourg-Saint-Vaast]].
  
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François Blondiaux est incorporé en novembre 1914 au {{8e}} {{RI}} de [[Saint-Omer]], puis passe successivement au {{108e}} {{RI}} en août 1915, et au {{30e}} {{RI}} en octobre 1915. Entre Octobre 1915 et Octobre 1917, il est promu successivement soldat de {{1ère}} classe puis Caporal et participe avec son régiment aux combats de Champagne, de Verdun et du Chemin des Dames.
  
==État civil==
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Il mourut bravement le 23 octobre 1917 à la tête de sa section d'une balle en plein cœur, lors d'un assaut à la grenade sur les positions allemandes du Château de la Motte, château dominant le vallon et village de l'Allemant dans l'Aisne (ouest du Chemin des Dames). L'un de ses frères ainés, l'abbé Désiré Blondiaux, aumônier-brancardier dans le même régiment s'occupe de son enterrement provisoire.  
François Louis Joseph Gabriel Blondiaux est né le 25 Mars 1895 à Richebourg Saint-Vaast, canton de Cambrin. Il est le fils cadet de Louis Désiré Fortuné Blondiaux et de Catherine Marie Rose Blondiaux, cultivateurs à Richebourg Saint-Vaast.  
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==Parcours militaire==
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Après la guerre, le corps de François est rapatrié au caveau familial de [[Richebourg|Richebourg-Saint-Vaast]].
François Blondiaux est incorporé en novembre 1914 au 8e RI de Saint-Omer puis passe successivement au 108e RI en août 1915 puis au 30e RI en octobre 1915. Entre Octobre 1915 et Octobre 1917, il est promu successivement soldat de 1ère classe puis Caporal et participe avec son régiment aux combats de Champagne, de Verdun et du Chemin des Dames. Il mourut bravement le 23/10/1917 à la tête de sa section d'une balle en plein cœur, lors d'un assaut à la grenade sur les positions allemandes du Château de la Motte, château dominant le vallon et village de l'Allemant dans l'Aisne (ouest du Chemin des Dames). L'un de ses frères ainés, l'abbé désiré Blondiaux, aumônier-brancardier dans le même régiment s'occupe de son enterrement provisoire.  
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Après la guerre, le corps de François est rapatrié au caveau familial de Richebourg Saint-Vaast.
 
  
  
 
==Sources et liens==
 
==Sources et liens==
  
Inscrit sur le monument aux morts de Richebourg l'Avoué - Saint- Vaast : [http://memoiresdepierre.pagesperso-orange.fr/alphabetnew/r/richebourg.html Monument aux morts Richebourg]
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*Inscrit sur le monument aux morts de Richebourg l'Avoué - Saint- Vaast : [http://memoiresdepierre.pagesperso-orange.fr/alphabetnew/r/richebourg.html Monument aux morts Richebourg]
 
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*[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YToxMDp7czoxMDoidHlwZV9mb25kcyI7czoxMzoic3BlY2lmX2NsaWVudCI7czoxMDoic3BlY2lmX2ZjdCI7czoyMzoiQXJrTURIVmlzaW9ubmV1c2VJbWFnZXMiO3M6MTg6InNwZWNpZl9uYXZfcGFyX2xvdCI7czoyMjoiQXJrTURITmF2aWdhdGlvblBhckxvdCI7czoxMzoibWRoX2ZvbmRzX2NsZSI7aToxO3M6NDoicmVmMiI7czo2OiIxMzk4ODgiO3M6MTI6ImlkX2Fya19maWNoZSI7czo2OiIxMzk4ODgiO3M6OToicHlyYW1pZGFsIjtiOjA7czoxMjoiaW1hZ2VfZGVwYXJ0IjtpOjA7czoxNjoidmlzaW9ubmV1c2VfaHRtbCI7YjoxO3M6MjE6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWxfbW9kZSI7czo0OiJwcm9kIjt9#uielem_move=472.566650390625%2C68&uielem_islocked=0&uielem_zoom=34&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F Fichier des morts pour la France]
[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YToxMDp7czoxMDoidHlwZV9mb25kcyI7czoxMzoic3BlY2lmX2NsaWVudCI7czoxMDoic3BlY2lmX2ZjdCI7czoyMzoiQXJrTURIVmlzaW9ubmV1c2VJbWFnZXMiO3M6MTg6InNwZWNpZl9uYXZfcGFyX2xvdCI7czoyMjoiQXJrTURITmF2aWdhdGlvblBhckxvdCI7czoxMzoibWRoX2ZvbmRzX2NsZSI7aToxO3M6NDoicmVmMiI7czo2OiIxMzk4ODgiO3M6MTI6ImlkX2Fya19maWNoZSI7czo2OiIxMzk4ODgiO3M6OToicHlyYW1pZGFsIjtiOjA7czoxMjoiaW1hZ2VfZGVwYXJ0IjtpOjA7czoxNjoidmlzaW9ubmV1c2VfaHRtbCI7YjoxO3M6MjE6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWxfbW9kZSI7czo0OiJwcm9kIjt9#uielem_move=472.566650390625%2C68&uielem_islocked=0&uielem_zoom=34&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F Fiche François Blondiaux sur Mémoire des Hommes]
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*[http://archivesenligne.pasdecalais.fr/ark:/64297/c4843768a78c32d2 Archives départementales du Pas-de-Calais, recrutement militaire]
 
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[http://archivesenligne.pasdecalais.fr/ark:/64297/c4843768a78c32d2 Feuillet matricule François Blondiaux - Archives départementales du Pas de Calais]
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Version actuelle en date du 9 mai 2016 à 18:45

François BLONDIAUX, photographie courant guerre, avant sa mort le 23/10/1917

François Louis Joseph Gabriel Blondiaux est né le 25 Mars 1895 à Richebourg-Saint-Vaast. Il est le fils cadet de Louis Désiré Fortuné Blondiaux et de Catherine Marie Rose Blondiaux, cultivateurs Richebourg-Saint-Vaast.

Parcours militaire

François Blondiaux est incorporé en novembre 1914 au 8e RI de Saint-Omer, puis passe successivement au 108e RI en août 1915, et au 30e RI en octobre 1915. Entre Octobre 1915 et Octobre 1917, il est promu successivement soldat de 1ère classe puis Caporal et participe avec son régiment aux combats de Champagne, de Verdun et du Chemin des Dames.

Il mourut bravement le 23 octobre 1917 à la tête de sa section d'une balle en plein cœur, lors d'un assaut à la grenade sur les positions allemandes du Château de la Motte, château dominant le vallon et village de l'Allemant dans l'Aisne (ouest du Chemin des Dames). L'un de ses frères ainés, l'abbé Désiré Blondiaux, aumônier-brancardier dans le même régiment s'occupe de son enterrement provisoire.

Après la guerre, le corps de François est rapatrié au caveau familial de Richebourg-Saint-Vaast.


Sources et liens