François Leclercq : Différence entre versions
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*Mobilisé en avril 1917. Mobilisé au {{165e}} régiment d'infanterie, il y reçoit son instruction militaire avant d'être versé au {{9e}} régiment d'infanterie, puis au {{365e}} {{RI}}. Le 10 octobre 1918, près d'Orfeuil, il est grièvement blessé et est reconnu quelques temps après invalide à 95 % (énucléation de l’œil droit, ankylose du genou, raccourcissement inférieur du membre inférieur avec paralysie du nerf radial droit et raideur articulaire du coude). | *Mobilisé en avril 1917. Mobilisé au {{165e}} régiment d'infanterie, il y reçoit son instruction militaire avant d'être versé au {{9e}} régiment d'infanterie, puis au {{365e}} {{RI}}. Le 10 octobre 1918, près d'Orfeuil, il est grièvement blessé et est reconnu quelques temps après invalide à 95 % (énucléation de l’œil droit, ankylose du genou, raccourcissement inférieur du membre inférieur avec paralysie du nerf radial droit et raideur articulaire du coude). | ||
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| − | *Chevalier de la Légion d'honneur en 1923, il reçoit sa décoration de M. Mercier (directeur général des mines de Béthune). Officier de la Légion d'honneur en 1932. | + | *Chevalier de la Légion d'honneur en 1923, il reçoit sa décoration de M. Mercier (directeur général des mines de Béthune). Officier de la Légion d'honneur en qualité d'ancien soldat au {{356e}} régiment d'infanterie (décret du 31 août 1932). |
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| + | *Officier des palmes académiques. | ||
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| + | *[https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/223887 Son dossier de la Légion d'honneur] | ||
*''Le Grand Écho du Nord de la France'', 26 septembre 1932. | *''Le Grand Écho du Nord de la France'', 26 septembre 1932. | ||
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Version actuelle en date du 18 février 2024 à 16:02
François Leclercq est né le 21 mai 1898 à Mazingarbe, fils de Jean-Baptiste Leclercq et d'Élisa Abrassart. Il est mort le 28 février 1976 à Enghien-les-Bains (Val d'Oise).
- Mobilisé en avril 1917. Mobilisé au 165e régiment d'infanterie, il y reçoit son instruction militaire avant d'être versé au 9e régiment d'infanterie, puis au 365e RI. Le 10 octobre 1918, près d'Orfeuil, il est grièvement blessé et est reconnu quelques temps après invalide à 95 % (énucléation de l’œil droit, ankylose du genou, raccourcissement inférieur du membre inférieur avec paralysie du nerf radial droit et raideur articulaire du coude).
- Ancien élève de l'école normale d'Arras. Instituteur (notamment à Grenay, Berck, Soisy-sous-Montmorency[1]).
- Chevalier de la Légion d'honneur en 1923, il reçoit sa décoration de M. Mercier (directeur général des mines de Béthune). Officier de la Légion d'honneur en qualité d'ancien soldat au 356e régiment d'infanterie (décret du 31 août 1932).
- Croix de guerre 1914-1918. Médaille militaire.
- Officier des palmes académiques.
Notes
- ↑ Il s'était marié en 1925 dans la région parisienne.
Sources
- Son dossier de la Légion d'honneur
- Le Grand Écho du Nord de la France, 26 septembre 1932.
