Henri Degand : Différence entre versions

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Henri Alcide Degand est né le 13 août 1870 à [[Arras]], fils de Théodore Charles Joseph Degand (négociant) et de Sophie Augustine Santerne (frère d’[[Edgard Degand]])
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Henri Alcide Augustin Degand est né le 13 août 1870 à [[Arras]], fils de Théodore Charles Joseph Degand (négociant) et de Sophie Augustine Santerne (frère d'[[Edgard Degand]]). Il est mort en 1950.
*Ancien élève du collège d’[[Arras]]
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*Ancien élève du collège d'[[Arras]]
 
*Docteur en droit de la faculté de Lille, lauréat de cette faculté
 
*Docteur en droit de la faculté de Lille, lauréat de cette faculté
*Avocat à la cour d’appel de Douai du 24 avril 1895 à octobre 1919. Avocat au barreau de Strasbourg à partir d’octobre 19189, chargé de cours à la faculté de droit et de sciences politiques. Avocat du gouvernement français à Strasbourg
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*Avocat à la cour d'appel de Douai du 24 avril 1895 à octobre 1919. Avocat au barreau de Strasbourg à partir d'octobre 1919, chargé de cours à la faculté de droit et de sciences politiques (à partir de février 1919).  
*Chevalier de la Légion d’honneur (décret 10 octobre 1930, sur rapport du ministre de la Guerre) en qualité de lieutenant honoraire de gendarmerie
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*Conseil juridique au Commissariat général de la République à Strasbourg (1920 à 1925).
*Citation du 26 novembre 1917 : « le 4 septembre 1914, étant dans ses foyers, à Douai, après avoir été libéré depuis quelques jours de la garde des voies de communication et encore mobilisable, s’est évadé à travers champs de la zone occupée par les allemands pour rejoindre son corps dans la Corrèze pour reprendre du service sur le front »
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*Chevalier de la Légion d'honneur (décret 10 octobre 1930, sur rapport du ministre de la Guerre) en qualité de lieutenant honoraire de gendarmerie
*Croix de guerre. Médaille des évadés. Médaille interalliée. Officier de l’Instruction publique
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*Croix de guerre. Médaille des évadés. Médaille interalliée. Officier de l'Instruction publique
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*Citation du 26 novembre 1917 :
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{{Citation|Le 4 septembre 1914, étant dans ses foyers, à Douai, après avoir été libéré depuis quelques jours de la garde des voies de communication et encore mobilisable, s'est évadé à travers champs de la zone occupée par les allemands pour rejoindre son corps dans la Corrèze pour reprendre du service sur le front.}}
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==Sources==
 
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*[[Georges Defurne]], [[Fernand Sergeant]], ''Dictionnaire biographique de la ville d’Arras et de son arrondissement'', Arras : imprimerie Théry et Plouvier, 1906.
 
*[[Georges Defurne]], [[Fernand Sergeant]], ''Dictionnaire biographique de la ville d’Arras et de son arrondissement'', Arras : imprimerie Théry et Plouvier, 1906.
 
*[http://www.culture.gouv.fr/LH/LH063/PG/FRDAFAN83_OL0688080V001.htm Base Léonore]
 
*[http://www.culture.gouv.fr/LH/LH063/PG/FRDAFAN83_OL0688080V001.htm Base Léonore]
 
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[[Catégorie:Avocat du Pas-de-Calais]][[Catégorie:Chevalier de la Légion d'honneur]][[Catégorie:Titulaire de la Croix de Guerre 1914-1918]]
[[Catégorie:Femme et homme du Pas-de-Calais2]]
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Version actuelle en date du 28 juillet 2015 à 18:06

Henri Alcide Augustin Degand est né le 13 août 1870 à Arras, fils de Théodore Charles Joseph Degand (négociant) et de Sophie Augustine Santerne (frère d'Edgard Degand). Il est mort en 1950.

  • Ancien élève du collège d'Arras
  • Docteur en droit de la faculté de Lille, lauréat de cette faculté
  • Avocat à la cour d'appel de Douai du 24 avril 1895 à octobre 1919. Avocat au barreau de Strasbourg à partir d'octobre 1919, chargé de cours à la faculté de droit et de sciences politiques (à partir de février 1919).
  • Conseil juridique au Commissariat général de la République à Strasbourg (1920 à 1925).
  • Chevalier de la Légion d'honneur (décret 10 octobre 1930, sur rapport du ministre de la Guerre) en qualité de lieutenant honoraire de gendarmerie
  • Croix de guerre. Médaille des évadés. Médaille interalliée. Officier de l'Instruction publique
  • Citation du 26 novembre 1917 :

« Le 4 septembre 1914, étant dans ses foyers, à Douai, après avoir été libéré depuis quelques jours de la garde des voies de communication et encore mobilisable, s'est évadé à travers champs de la zone occupée par les allemands pour rejoindre son corps dans la Corrèze pour reprendre du service sur le front. »


Sources