Prosper Jardin (1864-1951) : Différence entre versions

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Prosper Eugène Jardin est né le 21 mai 1864 à [[Wimille]], fils de François Jardin et de Marie Bellier. Il est mort le 12 septembre 1951 à Paris ({{16e}} arrondissement).  
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Prosper Eugène Jardin est né le 21 mai 1864 à [[Wimille]], fils de François Jardin (commis aux travaux du chemin de fer) et de Marie Bellier. Il est mort le 12 septembre 1951 à Paris ({{16e}} arrondissement).  
 
*Ingénieur des Arts et Métiers.  
 
*Ingénieur des Arts et Métiers.  
*Président du conseil d’administration de sept lignes de chemin de fer d’intérêt local (région Nord). Vice-président du syndicat des entrepreneurs de travaux publics de France.   
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*Président du conseil d'administration de sept lignes de chemin de fer d'intérêt local (région Nord). Vice-président du syndicat des entrepreneurs de travaux publics de France.   
*A exécuté des nombreux travaux pour les compagnie de chemin de fer du Nord, de l’Est, d’Orléans, de l’État et le service des Ponts et Chaussées.  
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*A exécuté des nombreux travaux pour les compagnie de chemin de fer du Nord, de l'Est, d'Orléans, de l'État et le service des Ponts et Chaussées.  
*Officier de la Légion d’honneur en qualité d’entrepreneur de travaux publics à Paris (décret du {{1er}} août 1936 sur rapport du ministre des Travaux publics). Chevalier de la Légion d’honneur (décret du 15 janvier 1920 sur rapport du ministre des Travaux publics).
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*Officier de la Légion d'honneur en qualité d'entrepreneur de travaux publics à Paris (décret du {{1er}} août 1936 sur rapport du ministre des Travaux publics). Chevalier de la Légion d'honneur (décret du 15 janvier 1920 sur rapport du ministre des Travaux publics).
  
 
Observation à l'appui de sa candidature à la Légion d'honneur :
 
Observation à l'appui de sa candidature à la Légion d'honneur :
{{Citation|A, pendant les hostilités, exécuté de nombreux travaux intéressants au plus haut point la défense nationale, notamment le construction de raccordements militaires et doublement de la ligne d’Eu à Dieppe ; fourniture de matériaux d’empierrement pour les routes de la zone des armées ; entrepôt d’obus de Cerdon ; poudrerie de Toulouse (usine de Dannemazan).}}
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{{Citation|A, pendant les hostilités, exécuté de nombreux travaux intéressants au plus haut point la défense nationale, notamment le construction de raccordements militaires et doublement de la ligne d'Eu à Dieppe ; fourniture de matériaux d'empierrement pour les routes de la zone des armées ; entrepôt d'obus de Cerdon ; poudrerie de Toulouse (usine de Dannemazan).}}
  
  
 
==Sources==
 
==Sources==
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*[http://archivesenligne.pasdecalais.fr/ark:/64297/1453f6b3440b155cc7a920b26f617cdc Archives départementales du Pas-de-Calais, état civil, acte de naissance de Wimille, 1864, n° 37]
 
*[http://www.culture.gouv.fr/LH/LH108/PG/FRDAFAN84_O19800035v0138762.htm Son dossier de la Légion d'honneur]
 
*[http://www.culture.gouv.fr/LH/LH108/PG/FRDAFAN84_O19800035v0138762.htm Son dossier de la Légion d'honneur]
  
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[[Catégorie:Officier de la Légion d'honneur]][[Catégorie:Entrepreneurs du Pas-de-Calais]][[Catégorie:Ingénieur du Pas-de-Calais]]
  
 
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Version actuelle en date du 24 février 2017 à 20:33

Prosper Eugène Jardin est né le 21 mai 1864 à Wimille, fils de François Jardin (commis aux travaux du chemin de fer) et de Marie Bellier. Il est mort le 12 septembre 1951 à Paris (16e arrondissement).

  • Ingénieur des Arts et Métiers.
  • Président du conseil d'administration de sept lignes de chemin de fer d'intérêt local (région Nord). Vice-président du syndicat des entrepreneurs de travaux publics de France.
  • A exécuté des nombreux travaux pour les compagnie de chemin de fer du Nord, de l'Est, d'Orléans, de l'État et le service des Ponts et Chaussées.
  • Officier de la Légion d'honneur en qualité d'entrepreneur de travaux publics à Paris (décret du 1er août 1936 sur rapport du ministre des Travaux publics). Chevalier de la Légion d'honneur (décret du 15 janvier 1920 sur rapport du ministre des Travaux publics).

Observation à l'appui de sa candidature à la Légion d'honneur :

« A, pendant les hostilités, exécuté de nombreux travaux intéressants au plus haut point la défense nationale, notamment le construction de raccordements militaires et doublement de la ligne d'Eu à Dieppe ; fourniture de matériaux d'empierrement pour les routes de la zone des armées ; entrepôt d'obus de Cerdon ; poudrerie de Toulouse (usine de Dannemazan). »


Sources