Victor Souilliez (1878-1960) : Différence entre versions
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Chevalier de la Légion d'honneur en qualité de lieutenant au {{71e}} {{RI}} (décret du 28 décembre 1921 sur rapport du ministre de la Guerre). | Chevalier de la Légion d'honneur en qualité de lieutenant au {{71e}} {{RI}} (décret du 28 décembre 1921 sur rapport du ministre de la Guerre). | ||
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+ | *[http://archivesenligne.pasdecalais.fr/ark:/64297/1635fa48a5dfa8986abb9fb96689daae Archives départementales du Pas-de-Calais, acte de naissance de Saint-Martin-au-Laërt, 1878, n° 26] | ||
*[http://www.culture.gouv.fr/LH/LH153/PG/FRDAFAN84_O19800035v0650758.htm Son dossier de la Légion d'honneur] | *[http://www.culture.gouv.fr/LH/LH153/PG/FRDAFAN84_O19800035v0650758.htm Son dossier de la Légion d'honneur] | ||
Version du 22 avril 2017 à 15:35
Victor Émile Souilliez est né le 7 juin 1878 à Saint-Martin-au-Laërt, fils d'Émile Charles Souilliez (scieur de long) et de Fidéline Marie Louise Bal. Il s’est marié le 23 septembre 1902 à Arques avec Marie Guffroy. Il est mort le 27 novembre 1960 à Saint-Omer.
Chevalier de la Légion d'honneur en qualité de lieutenant au 71e RI (décret du 28 décembre 1921 sur rapport du ministre de la Guerre).
Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre de la division le 26 juin 1917 :
« Le 21 juin 1917, a entraîné vigoureusement sa section à l'attaque d'une tranchée allemande. Son commandant de compagnie ayant été blessé, a pris le commandement de sa compagnie dans des conditions particulièrement difficiles et fait preuve des plus belles qualités de commandement. »
Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre du corps d'armée le 12 juin 1918 :
« Officier d'un calme et d'un courage au-dessus de tout éloge. Le 1er juin 1918 ayant reçu la mission de défendre coûte que coûte un ravin par où l'ennemi tentait de s'infiltrer, a tenu jusqu'au bout malgré un feu violent de mitrailleuses, donnant à sa troupe le plus bel exemple. »
Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre de la division le 14 août 1918 :
« Commandant de compagnie d’une rare énergie et d'un grand courage. A mené résolument sa compagnie à l'assaut des positions ennemies , a réalisé une avance importante, capturé des prisonniers et enlevé des mitrailleuses. Blessé grièvement le ?, alors qu'il dépassait à la tête sa compagnie, une crête balayée par les feux des mitrailleuses ennemies. »