Victor Souilliez (1878-1960) : Différence entre versions

De Wikipasdecalais
Aller à : navigation, rechercher
(Page créée avec « Victor Émile Souilliez est né le 7 juin 1878 à Saint-Martin-au-Laërt, fils d'Émile Charles Souilliez et de Fidéline Marie Louise Bal. Il s’est marié le 23 sep... »)
 
m
Ligne 1 : Ligne 1 :
 
Victor Émile Souilliez est né le 7 juin 1878 à [[Saint-Martin-au-Laërt]], fils d'Émile Charles Souilliez et de Fidéline Marie Louise Bal. Il s’est marié le 23 septembre 1902 à [[Arques]] avec Marie Guffroy. Il est mort le 27 novembre 1960.  
 
Victor Émile Souilliez est né le 7 juin 1878 à [[Saint-Martin-au-Laërt]], fils d'Émile Charles Souilliez et de Fidéline Marie Louise Bal. Il s’est marié le 23 septembre 1902 à [[Arques]] avec Marie Guffroy. Il est mort le 27 novembre 1960.  
*Chevalier de la Légion d’honneur en qualité de lieutenant au {{71e}} {{RI}} (décret du 28 décembre 1921 sur rapport du ministre de la Guerre).
 
  
Il a fait l’objet d’une citation à l’ordre de la division le 26 juin 1917 :
+
Chevalier de la Légion d'honneur en qualité de lieutenant au {{71e}} {{RI}} (décret du 28 décembre 1921 sur rapport du ministre de la Guerre).
{{Citation|Le 21 juin 1917, a entraîné vigoureusement sa section à l’attaque d’une tranchée allemande. Son commandant de compagnie ayant été blessé, a pris le commandement de sa compagnie dans des conditions particulièrement difficiles et fait preuve des plus belles qualités de commandement.}}
+
  
Il a fait l’objet d’une citation à l’ordre du corps d’armée le 12 juin 1918 :
+
Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre de la division le 26 juin 1917 :
{{Citation|Officier d’un calme et d’un courage au-dessus de tout éloge. Le {{1er}} juin 1918 ayant reçu la mission de défendre coûte que coûte un ravin par où l’ennemi tentait de s’infiltrer, a tenu jusqu'au bout malgré un feu violent de mitrailleuses, donnant à sa troupe le plus bel exemple.}}
+
{{Citation|Le 21 juin 1917, a entraîné vigoureusement sa section à l'attaque d'une tranchée allemande. Son commandant de compagnie ayant été blessé, a pris le commandement de sa compagnie dans des conditions particulièrement difficiles et fait preuve des plus belles qualités de commandement.}}
  
Il a fait l’objet d’une citation à l’ordre de la division le 14 août 1918 :
+
Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre du corps d'armée le 12 juin 1918 :
{{Citation|Commandant de compagnie d’une rare énergie et d’un grand courage. A mené résolument sa compagnie à l’assaut des positions ennemies , a réalisé une avance importante, capturé des prisonniers et enlevé des mitrailleuses. Blessé grièvement le ?, alors qu’il dépassait à la tête sa compagnie, une crête balayée par les feux des mitrailleuses ennemies.}}
+
{{Citation|Officier d'un calme et d'un courage au-dessus de tout éloge. Le {{1er}} juin 1918 ayant reçu la mission de défendre coûte que coûte un ravin par où l'ennemi tentait de s'infiltrer, a tenu jusqu'au bout malgré un feu violent de mitrailleuses, donnant à sa troupe le plus bel exemple.}}
 +
 
 +
Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre de la division le 14 août 1918 :
 +
{{Citation|Commandant de compagnie d’une rare énergie et d'un grand courage. A mené résolument sa compagnie à l'assaut des positions ennemies , a réalisé une avance importante, capturé des prisonniers et enlevé des mitrailleuses. Blessé grièvement le ?, alors qu'il dépassait à la tête sa compagnie, une crête balayée par les feux des mitrailleuses ennemies.}}
  
  
Ligne 17 : Ligne 18 :
 
{{DEFAULTSORT:Souilliez, Victor}}
 
{{DEFAULTSORT:Souilliez, Victor}}
 
[[Catégorie:Militaire du Pas-de-Calais]]
 
[[Catégorie:Militaire du Pas-de-Calais]]
[[Catégorie:Titulaire de la Légion d'honneur]]
+
[[Catégorie:Chevalier de la Légion d'honneur]]

Version du 1 juillet 2015 à 22:29

Victor Émile Souilliez est né le 7 juin 1878 à Saint-Martin-au-Laërt, fils d'Émile Charles Souilliez et de Fidéline Marie Louise Bal. Il s’est marié le 23 septembre 1902 à Arques avec Marie Guffroy. Il est mort le 27 novembre 1960.

Chevalier de la Légion d'honneur en qualité de lieutenant au 71e RI (décret du 28 décembre 1921 sur rapport du ministre de la Guerre).

Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre de la division le 26 juin 1917 :

« Le 21 juin 1917, a entraîné vigoureusement sa section à l'attaque d'une tranchée allemande. Son commandant de compagnie ayant été blessé, a pris le commandement de sa compagnie dans des conditions particulièrement difficiles et fait preuve des plus belles qualités de commandement. »

Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre du corps d'armée le 12 juin 1918 :

« Officier d'un calme et d'un courage au-dessus de tout éloge. Le 1er juin 1918 ayant reçu la mission de défendre coûte que coûte un ravin par où l'ennemi tentait de s'infiltrer, a tenu jusqu'au bout malgré un feu violent de mitrailleuses, donnant à sa troupe le plus bel exemple. »

Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre de la division le 14 août 1918 :

« Commandant de compagnie d’une rare énergie et d'un grand courage. A mené résolument sa compagnie à l'assaut des positions ennemies , a réalisé une avance importante, capturé des prisonniers et enlevé des mitrailleuses. Blessé grièvement le ?, alors qu'il dépassait à la tête sa compagnie, une crête balayée par les feux des mitrailleuses ennemies. »


Sources