Écuires : Différence entre versions
(→Histoire) |
|||
Ligne 32 : | Ligne 32 : | ||
== Patrimoine == | == Patrimoine == | ||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
=== Habitat === | === Habitat === | ||
Ligne 50 : | Ligne 46 : | ||
=== Patrimoine religieux === | === Patrimoine religieux === | ||
− | + | Églises, presbytère, chapelles, niches, calvaires, oratoires, ... | |
=== Patrimoine éducatif === | === Patrimoine éducatif === | ||
− | + | Écoles, collèges, lycées, universités, instituts de formation, universités populaires, ... | |
=== Patrimoine économique === | === Patrimoine économique === | ||
Moulins, gares, forges, brasseries, ... | Moulins, gares, forges, brasseries, ... | ||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
=== Patrimoine ethnographique === | === Patrimoine ethnographique === |
Version du 3 janvier 2012 à 22:06
Écuires | |
---|---|
Administration | |
Arrondissement | de Montreuil-sur-Mer |
Canton | de Montreuil-sur-Mer |
Code Insee | 62289 |
Code postal | 62170 |
Intercommunalité | Communauté de communes du Montreuillois |
Statistiques | |
Population | 781 hab. |
Superficie | 9,2 km2 |
Densité | 85,4 hab. par km2 |
Autres | |
Site web | Pas de site officiel |
Sommaire
Territoire
caractéristiques générales, limites, hameaux, ...
Toponymie
- Squira en 1042, Escurae en 1079, Escuir en 1154, Ecuirs en 1739 [1]
Géographie
Histoire
Situé au sud de Montreuil-sur-Mer, l’actuel village d’Écuires s’est niché au creux d’un vallon humide. Son apparition semble étroitement liée à l’histoire de la ville de Montreuil-sur-Mer puisque le village n’est à l’origine qu’une dépendance de l’abbaye Saint-Saulve. Son nom même dérive du mot scuria qui signifie écurie ou grange. Il atteste que les moines y possédaient des droits anciennement abandonnés à leur profit par le comte de Montreuil Herluin. Outre les deux tiers de la dîme et certaines corvées sur les habitants, l’abbaye y possédait également un vivier à poissons et des vignes fournissant le vin de messe.
Une famille seigneuriale portant le nom du village est attestée dès le début du XIIe siècle. Elle semble inféodée aux comtes de Montreuil et réside dans cette ville plutôt qu’à Écuires.
Selon la tradition, un sanctuaire primitif devait exister au lieu-dit le Cronquelet du Hamel, à l’extrémité du village actuel, vers Boisjean. Au XVe siècle, le village se replie vers le nord pour bénéficier de la protection de l’enceinte de Montreuil-sur-Mer et se dote d’une nouvelle église dédiée à saint Vaast.
Il existait de nombreux fiefs nobles sur le territoire d’Écuires qui perdurent aujourd’hui sous la forme de grosses fermes seigneuriales. Le fief du Quiévremont, dont un manoir situé sur la route de Boisjean subsiste, appartenait autrefois à la famille Acary de la Rivière. En 1810, l’un de ses membres a fait construire l’hôtel particulier montreuillois qui porte aujourd’hui son nom.
Écuires ne devient une commune indépendante que lors de la suppression de la banlieue de Montreuil-sur-Mer en 1790.
Patrimoine
Habitat
Mottes castrales, châteaux, manoirs, maisons, ...
- Le fief de Beaumanoir
- Le Quiévremont
- La ferme Moffait
- La Suzoie
- Le Bras d'Or
- Le Moulin du Pan
- Dangermel
Patrimoine religieux
Églises, presbytère, chapelles, niches, calvaires, oratoires, ...
Patrimoine éducatif
Écoles, collèges, lycées, universités, instituts de formation, universités populaires, ...
Patrimoine économique
Moulins, gares, forges, brasseries, ...
Patrimoine ethnographique
Coutumes et traditions : pratiques locales, costumes, musique, sports, gastronomie, folklore, fêtes traditionnelles, ...
Économie
Données actuelles
Infrastructures et équipements
Collectivités publiques et services : écoles, postes, piscines, bibliothèques, centres sportifs, ...
Vie quotidienne
Vie associative, sport, loisirs, etc
Des hommes et des femmes
Démographie
|
Personnes
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
en cours | ||||
Toutes les données ne sont pas encore connues. |
Maires, curés, instituteurs, officiers, décorés, personnalités, seigneurs, ...
Notes et liens
Bibliographie
- Gérard Bacquet : Val de Canche, 1982, 222 p.
- Gérard Bacquet : Le Ponthieu, 1992, 535 p.
- Christian Gonsseaume : Écuires dans Répertoire icinographique et statuaire du pays de Monreuil, Sucellus, n° 57, 2006, AMPBBE, p. 31
- Jacques Hurtrelle avec la collaboration de Georges Dilly et Jean Lephay : Carreaux funéraires en terre cuite vernissée des églises du Ponthieu, Dossiers archéologiques, historiques et culturel du Nord et du Pas-de-Calais, n° 16, 1983, p. 21-43
- Albert Leroy : Les vieilles fermes du Pays de Montreuil, 1972, t. 1, 271 p.
- Jean-Marie Monnet : Écuires aux XVIIe et XVIIIe siècles. Mouvement démographique, Dossiers archéologiques, historiques et culturel du Nord et du Pas-de-Calais, n° 16, 1983, p. 16-17
- Daniel Piton : Écuires dans Chronique archéologique, Sucellus, n° 55, 2004, AMPBBE, p. 51-52
Liens internes
Liens externes
Notes
- ↑ Jacques Mahieu : Noms des lieux des cantons d'Étaples et d'Hucqueliers et de leurs confins ainsi que du littoral du Marquenterre, Mémoire d'Opale n° 3, p. 22-39
- ↑ Population avant le recensement de 1962
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962