Couvent des Ursulines de Saint-Omer : Différence entre versions
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* [[Yves-Marie Hilaire]], ''Une Chrétienté au {{XIXe}} siècle ? La vie religieuse des populations du diocèse d'Arras, 1840-1914'', Villeneuve-d'Ascq, Publications de l'Université de Lille III, 1977. | * [[Yves-Marie Hilaire]], ''Une Chrétienté au {{XIXe}} siècle ? La vie religieuse des populations du diocèse d'Arras, 1840-1914'', Villeneuve-d'Ascq, Publications de l'Université de Lille III, 1977. | ||
* Adèle Boury, ''Mémoires de Mademoiselle Adèle Boury'', Vimont-Guyot éditeurs, Paris, 1833. | * Adèle Boury, ''Mémoires de Mademoiselle Adèle Boury'', Vimont-Guyot éditeurs, Paris, 1833. | ||
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| + | ==Bibliographie== | ||
| + | *''Souvenir du centenaire de la restauration (1800-1900) du monastère des religieuses ursulines de Saint-Omer'', Arras, Schoutheer, 1900, 48 pages. | ||
| + | *Guy-Marie Oury, « Les restaurations et fondations des monastères d'ursulines au {{XIXe}} siècle : quelques caractères spécifiques », Angers, 1981, pages 115-126 (Les religieuses enseignantes, {{XVIe}}-{{XXe}} siècles. Actes de la quatrième rencontre d'histoire religieuse organisée à Fontevraud le 4 octobre 1980). | ||
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Version actuelle en date du 19 octobre 2013 à 20:39
| Couvent des Ursulines de Saint-Omer | |
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| Informations | |
| Dénomination | Les Ursulines de Saint-Omer |
| Lieu | Saint-Omer |
| Dates d'existence | ... - 1792 ; XIXe - XXe |
| Ordre religieux | Sainte-Ursule (femmes) |
| État actuel | |
| Classement | |
| Accessibilité | |
Historique
En 1790, le couvent comprend 31 religieuses et 40 pensionnaires, et peut en accueillir jusque 90 : « Les religieuses ursulines, occupées par leur institut à l’éducation publique, outre les deux classes de pensionnaires renfermées dans l’intérieur du couvent, ont encore trois classes extérieures pour l’éducation publique et gratuite des enfants de la ville et des environs ».
Après la séparation des Églises et de l'État, les religieuses voient leur institution frappée d'un arrêt de fermeture le 18 juin 1907. Leur appel au Conseil d'État est rejeté le 30 juillet 1909, et c'est un an plus tard qu'elles sont expulsées, et se réfugient en Belgique à Tournai, chemin du crampon, où elles resteront jusqu'en 1931.
La médaille des Justes parmi les Nations fut décernée à titre posthume à la mère Marie-Xavier, entrée au couvent en 1889, pour avoir sauvé la vie de nombreux juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.
Sources
- Michel Tillie, Commission diocésaine du Pas-de-Calais, Le Joyel d'Arras
- Collectif, Villes et villages du Pas-de-Calais en 1790, Mémoires de la Commission Départementale d'Histoire et d'Archéologie, Tome 3, 1990, p. 306.
- Yves-Marie Hilaire, Une Chrétienté au XIXe siècle ? La vie religieuse des populations du diocèse d'Arras, 1840-1914, Villeneuve-d'Ascq, Publications de l'Université de Lille III, 1977.
- Adèle Boury, Mémoires de Mademoiselle Adèle Boury, Vimont-Guyot éditeurs, Paris, 1833.
Bibliographie
- Souvenir du centenaire de la restauration (1800-1900) du monastère des religieuses ursulines de Saint-Omer, Arras, Schoutheer, 1900, 48 pages.
- Guy-Marie Oury, « Les restaurations et fondations des monastères d'ursulines au XIXe siècle : quelques caractères spécifiques », Angers, 1981, pages 115-126 (Les religieuses enseignantes, XVIe-XXe siècles. Actes de la quatrième rencontre d'histoire religieuse organisée à Fontevraud le 4 octobre 1980).
