François Brevier : Différence entre versions

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François Gédéon Brévier est né le 25 février 1879 à [[Colline-Beaumont]]. Fils de François Octave Brévier et de Marie Noel ? ; il exerçait la profession d’ouvrier agricole. il fut successivement domicilié à [[Colline-Beaumont]], [[Groffliers]] (21 novembre [[1903]]) et [[Verton]] (22 décembre 1905).
 
François Gédéon Brévier est né le 25 février 1879 à [[Colline-Beaumont]]. Fils de François Octave Brévier et de Marie Noel ? ; il exerçait la profession d’ouvrier agricole. il fut successivement domicilié à [[Colline-Beaumont]], [[Groffliers]] (21 novembre [[1903]]) et [[Verton]] (22 décembre 1905).
  
Carrière militaire : Ajourné pour faiblesse en [[1900]], incorporé au {{15e}} régiment d’artillerie le 15 novembre [[1901]], passé artificier le 16 juillet [[1902]], passé dans la disponibilité le 8 octobre [[1903]]. Hospitalisé à l’ambulance 9/16 pour intoxication au gaz le 6 août 1917, évacué sur l’hôpital 78 le 10 août 1917, sorti le 17 août 1917 avec une permission de 7 jours ; blessé le 23 septembre 1917 à la ferme Seger (Belgique), plaie à la cuisse gauche par éclat d’obus, décédé à l’ambulance 2/10. Il avait bénéficié d’un sursis d’appel du 8 septembre 1916 au 15 janvier 1917 pour travailler à la sucrerie de [[Rang-du-Fliers]]. Soldat de {{2e}} classe au {{1er}} régiment d’artillerie à pied. Matricule 48, recrutement de Saint-Omer. Mort pour la France le 23 septembre 1917 (Belgique), des suites de blessures.
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Carrière militaire : Ajourné pour faiblesse en 1900, incorporé au {{15e}} régiment d’artillerie le 15 novembre 1901, passé artificier le 16 juillet 1902, passé dans la disponibilité le 8 octobre [[1903]]. Hospitalisé à l’ambulance 9/16 pour intoxication au gaz le 6 août 1917, évacué sur l’hôpital 78 le 10 août 1917, sorti le 17 août 1917 avec une permission de 7 jours ; blessé le 23 septembre 1917 à la ferme Seger (Belgique), plaie à la cuisse gauche par éclat d’obus, décédé à l’ambulance 2/10. Il avait bénéficié d’un sursis d’appel du 8 septembre 1916 au 15 janvier 1917 pour travailler à la sucrerie de [[Rang-du-Fliers]]. Soldat de {{2e}} classe au {{1er}} régiment d’artillerie à pied. Matricule 48, recrutement de Saint-Omer. Mort pour la France le 23 septembre 1917 (Belgique), des suites de blessures.
  
 
== Sources ==
 
== Sources ==

Version du 8 novembre 2011 à 17:13

François Gédéon Brévier est né le 25 février 1879 à Colline-Beaumont. Fils de François Octave Brévier et de Marie Noel ? ; il exerçait la profession d’ouvrier agricole. il fut successivement domicilié à Colline-Beaumont, Groffliers (21 novembre 1903) et Verton (22 décembre 1905).

Carrière militaire : Ajourné pour faiblesse en 1900, incorporé au 15e régiment d’artillerie le 15 novembre 1901, passé artificier le 16 juillet 1902, passé dans la disponibilité le 8 octobre 1903. Hospitalisé à l’ambulance 9/16 pour intoxication au gaz le 6 août 1917, évacué sur l’hôpital 78 le 10 août 1917, sorti le 17 août 1917 avec une permission de 7 jours ; blessé le 23 septembre 1917 à la ferme Seger (Belgique), plaie à la cuisse gauche par éclat d’obus, décédé à l’ambulance 2/10. Il avait bénéficié d’un sursis d’appel du 8 septembre 1916 au 15 janvier 1917 pour travailler à la sucrerie de Rang-du-Fliers. Soldat de 2e classe au 1er régiment d’artillerie à pied. Matricule 48, recrutement de Saint-Omer. Mort pour la France le 23 septembre 1917 (Belgique), des suites de blessures.

Sources