Jean Saint-André : Différence entre versions

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Jean Saint-André est né le 14 août 1922 à Vanves (Hauts-de-Seine). Décédé le 10 mai 2010 à [[Saint-Omer]]. Il est le père de [[Stéphane Saint-André]]  
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Jean Saint-André est né le 14 août 1922 à Vanves (Hauts-de-Seine). Marié avec Simone Brebant, il a eu trois enfants (Annick, Michèle et [[Stéphane Saint-André|Stéphane]]), huit petits enfants, cinq arrière-petits-enfants. Il est décédé le 10 mai 2010 à [[Saint-Omer]].
  
 
==Études et diplômes==
 
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==Activités sociales et culturelles==
 
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* Délégué Départemental de l’Éducation Nationale depuis 1972
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* Créateur des Journées Mycologiques de Saint-Omer en 1966
 
* Créateur des Journées Mycologiques de Saint-Omer en 1966
 
* Cofondateur de la section Vie Libre de Saint-Omer
 
* Cofondateur de la section Vie Libre de Saint-Omer
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* Membre de la ligue des Droits de l’homme depuis sa création à Saint-Omer et administrateur de nombreuses sociétés et associations
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* Membre de la ligue des Droits de l'homme depuis sa création à Saint-Omer et administrateur de nombreuses sociétés et associations
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* Président fondateur de l’association « instance de coordination gérontologique de l’Audomarois » de 2002 à 2008
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* Président fondateur de l'association « instance de coordination gérontologique de l'Audomarois » de 2002 à 2008
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* Président honoraire de la Commission locale de l’Eau
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==Divers==
 
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* Réfractaire au STO
 
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* Membre du Parti Socialiste depuis 1936
 
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*Très attaché aux problèmes de l'éducation, il milite inlassablement pour l'accès du plus grand nombre à la formation. Dès 1969, il réclame la création d'un institut universitaire de technologie (IUT) à Saint-Omer. Il obtiendra un rendez-vous avec le ministre de l'Éducation Nationale de l'époque (Edgar Faure) pour lancer ce qui deviendra plus tard le pôle universitaire de l'Audomarois. Sous ses mandats de maire et de conseiller général, il n'aura de cesse de rénover écoles et collèges. Membre du Conseil d'Administration de la Faculté de Pharmacie de Lille, il met en place des cours post universitaires pour les pharmaciens en activité.
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Marié avec Simone Brebant, trois enfants (Annick, Michèle et Stéphane), 8 petits enfants, 5 arrière-petits-enfants
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*Son nom a été donné au centre social et culturel de Saint-Omer en mars 2016<ref>''La Voix du Nord'', jeudi 24 mars 2016, « Le nom de Jean Saint-André au fronton du centre social et culturel. »</ref>.
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Très attaché aux problèmes de l’éducation, il milite inlassablement pour l’accès du plus grand nombre à la formation. Dès 1969, il réclame la création d'un IUT à Saint-Omer. Il obtiendra un rendez-vous avec le ministre de l’Éducation Nationale de l’époque (Edgar Faure) pour lancer ce qui deviendra plus tard le pôle universitaire de l’Audomarois. Sous ses mandats de maire et de conseiller général, il n’aura de cesse de rénover écoles et collèges. Membre du Conseil d’Administration de la Faculté de Pharmacie de Lille, il met en place des cours post universitaires pour les pharmaciens en activité. Son fils Stéphane est aujourd'hui député maire de [[Béthune]].  
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*[[Archives départementales du Pas-de-Calais]], 1863 W 53 : déclaration de candidature aux élections régionales de 1986.  
 
*[[Archives départementales du Pas-de-Calais]], 1863 W 53 : déclaration de candidature aux élections régionales de 1986.  
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Version du 26 mars 2016 à 18:44

Portrait de Jean Saint-André
Portrait (1981)

État civil

Jean Saint-André est né le 14 août 1922 à Vanves (Hauts-de-Seine). Marié avec Simone Brebant, il a eu trois enfants (Annick, Michèle et Stéphane), huit petits enfants, cinq arrière-petits-enfants. Il est décédé le 10 mai 2010 à Saint-Omer.

Études et diplômes

  • 1939 : Baccalauréat (mathématique)
  • 1940 : Baccalauréat (philosophie)
  • 1946 : Diplôme de pharmacien à Lille
  • 1950 : Diplôme d’opticien, acousticien à la Faculté de pharmacie de Paris
  • De 1947 à 1988 : Installé à la pharmacie de son grand-père maternel au 33, rue de Calais.

Fonctions électives

  • Conseiller municipal de Saint-Omer de 1965 à 2003
  • Conseiller général de 1976 à 2001
  • Maire de Saint-Omer et Président du District de la région audomaroise de 1977 à 1983
  • Conseiller régional de 1977 à 1982
  • Député suppléant de Roland Huguet de 1973 à 1986
  • Ancien président du CAUE et du CDHR

Activités sociales et culturelles

  • Délégué Départemental de l'Éducation Nationale depuis 1972
  • Créateur des Journées Mycologiques de Saint-Omer en 1966
  • Cofondateur de la section Vie Libre de Saint-Omer
  • Membre de la ligue des Droits de l'homme depuis sa création à Saint-Omer et administrateur de nombreuses sociétés et associations
  • Président fondateur de l'association « instance de coordination gérontologique de l'Audomarois » de 2002 à 2008
  • Président honoraire de la Commission locale de l'Eau

Divers

  • Réfractaire au STO
  • Membre du Parti Socialiste depuis 1936
  • Très attaché aux problèmes de l'éducation, il milite inlassablement pour l'accès du plus grand nombre à la formation. Dès 1969, il réclame la création d'un institut universitaire de technologie (IUT) à Saint-Omer. Il obtiendra un rendez-vous avec le ministre de l'Éducation Nationale de l'époque (Edgar Faure) pour lancer ce qui deviendra plus tard le pôle universitaire de l'Audomarois. Sous ses mandats de maire et de conseiller général, il n'aura de cesse de rénover écoles et collèges. Membre du Conseil d'Administration de la Faculté de Pharmacie de Lille, il met en place des cours post universitaires pour les pharmaciens en activité.
  • Son nom a été donné au centre social et culturel de Saint-Omer en mars 2016[1].

Décorations

  • Chevalier de la Légion d'Honneur (8 avril 1998)
  • Chevalier de l'Ordre national du Mérite (décret du 23 décembre 1989).
  • Commandeur des Palmes Académiques
  • Médaille de l’Administration pénitentiaire (administrateur de la Maison d'arrêt de Saint-Omer)

Candidatures politiques

Galerie

  • Portrait de 1978

  • Profession de foi aux régionales de 1986

  • Profession de foi aux régionales de 1986 (verso)

  • Bulletin de vote aux régionales de 1986

Sources

Notes

  1. ↑ La Voix du Nord, jeudi 24 mars 2016, « Le nom de Jean Saint-André au fronton du centre social et culturel. »
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