Jules Firmoin (1893-1918)

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Jules Edouard Firmoin est né le 28 août 1893 à Dainville, fils de Nicolas François Firmoin et d'Émelie Mustin ; marié à Dainville le 12 juillet 1913 avec Eugénie Parsy. Il était ouvrier briquetier.

Premier sapeur au 3e régiment du génie, compagnie 3/13. Mort pour la France le 16 septembre 1918 à Guervenheim (Alsace), tué à l’ennemi par éclat d’obus.

Extrait du journal de marche de la 13e compagnie[1] :

« Le village de Guevenheim est bombardé entre 3 et 4 heures du matin, le s/m Firmoin est tué, le s/m Bréfort et ?, blessés et évacués. »

Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre du génie de la 53e division d'infanterie le 22 octobre 1915 :

« Blessé légèrement à la joue le 11 octobre à 6 heures du matin, à travaillé toute la journée sans se faire panser. »

Il a fait l'objet d'une citation à l'ordre du génie de la 53e division d'infanterie le 17 septembre 1918 :

« Sapeur énergique et consciencieux, blessé mortellement le 16 septembre 1918. »


Lien interne

Sources

Notes

  1. Mémoires des Hommes, 13e compagnie, J.M.O. • 1er janvier 1917 29 août 1919 • 26 N 1274/15, p.65
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