Louis Malvoisin (1885-1916) : Différence entre versions

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Caporal au {{233e}} régiment d'infanterie. Mort pour la France le 4 septembre 1916 à Lihons (Somme), tué à l’ennemi.
 
Caporal au {{233e}} régiment d'infanterie. Mort pour la France le 4 septembre 1916 à Lihons (Somme), tué à l’ennemi.
  
Il fait son service militaire en 1916 à Arras (62000).
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Il fait son service militaire en 1916 à [[Arras]]. Il est incorporé au {{23e}} régiment d'infanterie colonial à compté du 8 octobre 1906. Arrivé au corp le jour dit et soldat de 2{{2e}} classe sous le numéro de matricule 1065. Il fût temporairement réformé le 30 aout 1907 par la commion médicale de Paris pour bronchite suspect (HS). À sa demande, il fût rappelé à l'activité le 23 decembre 1907 au {{23e}} régiment d'infanterie colonial par la commission de réforme d'[[Arras]] le 17 décembre 1907 et arrive au corps comme soldat de {{2e}}classe le 23 décembre 1907.
Il est incorporé au 23 éme Régiment d'Infanterie colonial à compté du 8 octobre1906. Arrivé au corp le jour dit et soldat de 2 éme classe sous le n° matrucule 1065.
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Il fût temporairement réformé le 30 aout 1907 par la commion médicale de Paris pour bronchite suspect (HS).
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Certificat de bonne conduite accordé.
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Certificat de bonne conduite accordé. Il est passé dans la réserve de l'armée active le 20 février 1909. Il effectue un première période dans le {{23e}} régiment d'infanterie colonial du 30 août au 21 septembre 1911.  
- Il est passé dans la réserve de l'armée active le 20 février 1909.
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- Il effectue un 1ére période dans le 23 éme régiment d'Infanterie colonial du 30 aout au 21 septembre 1911.  
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Campagne contre l'Allemagne:
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Campagne contre l'Allemagne : Il fût rappelé à l'activité le {{3e}} jour de mobilisation au {{33e}} régiment d'infanterie, arrivé au corps le jour dit, le 4 août 1914 jusqu'au 4 septembre 1916.
- Il fût rappelé à l'activité le 3 éme jour de mobilisation au 33 régiment d'Infanterie, arrivé au corpsle jout dit, le 4 aout 1914 jusqu'au 4 septembre 1916.
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Durant le conflit 14 /18 Louis passe du soldat de 2 éms classe au grade de Caporal au 233 éme régiment d'infanterie.(source Mémoire des Hommes - sa fiche
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Durant le conflit 1914-1918, Louis passe du soldat de {{2e}} classe au grade de Caporal au {{233e}} régiment d'infanterie.
  
Extraits du livre sur: Historique du 233° Régiment d’Infanterie pendant la grande guerre 1914 - 1918
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Extraits du livre ''Historique du 233° Régiment d’Infanterie pendant la grande guerre 1914 - 1918'' (Imprimerie de J Dumoulin, 5 rue des Grands Augustins, Paris 1920)<ref>Livre numérisé par Jean-Luc Arnould sur le site de : Horizon 14-18</ref> :
(Imprimerie de J Dumoulin, 5 rue des Grands Augustins, Paris 1920)
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Livre numérisé par Jean-Luc Arnould sur le site de : Horizon 14-18
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Le 14 août 1916, le 233e R.I. est ramené à l'arrière pour préparer une nouvelle attaque.
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Le 14 août 1916, le {{233e}} {{RI}} est ramené à l'arrière pour préparer une nouvelle attaque. Celle-ci doit avoir lieu dans un secteur connu : Lihons devant Chaulnes ; là où le régiment a occupé à deux reprises les tranchées de ce secteur en 1915 et 1916.
Celle-ci doit avoir lieu dans un secteur connu : Lihons devant Chaulnes ; là où le régiment a occupé à deux reprises les tranchées de ce secteur en 1915 et 1916.
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'''''Le déroulement de sa mort'''.''
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'''Circonstances de son décès'''
 
   
 
   
"L'attaque a lieu le 4 septembre à 14 heures: Les deux premières tranchées sont enlevées assez facilement, mais l'ennemi tient encore la troisième ; le 4e bataillon (à gauche) éprouve des pertes sensibles et ne peut continuer la progression ; à droite, le 5e bataillon enlève la corne sud du bois de Chaulnes. La section Vasseur, en pointe, réussit à enlever 2 mitrailleuses qui arrêtaient la marche des 3 autres sections de la 19e compagnie ; puis, par une progression rapide sous bois, elle atteint la tranchée Guillaume, se rabat en arrière, capture deux nouvelles mitrailleuses en action, qui avaient tiré chacune plus de 10.000 cartouches et permet ainsi à la compagnie de s'établier sur l'objectif du bataillon, distant de plus de 1.500 mètres du point de départ. C'est en capturant une de ces mitrailleuses que le caporal Malvoisin est tué d'une balle en plein coeur.".
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{{Citation|L'attaque a lieu le 4 septembre à 14 heures: Les deux premières tranchées sont enlevées assez facilement, mais l'ennemi tient encore la troisième ; le {{4e}} bataillon (à gauche) éprouve des pertes sensibles et ne peut continuer la progression ; à droite, le {{5e}} bataillon enlève la corne sud du bois de Chaulnes. La section Vasseur, en pointe, réussit à enlever 2 mitrailleuses qui arrêtaient la marche des 3 autres sections de la {{19e}} compagnie ; puis, par une progression rapide sous bois, elle atteint la tranchée Guillaume, se rabat en arrière, capture deux nouvelles mitrailleuses en action, qui avaient tiré chacune plus de 10.000 cartouches et permet ainsi à la compagnie de s'établir sur l'objectif du bataillon, distant de plus de 1.500 mètres du point de départ. C'est en capturant une de ces mitrailleuses que le caporal Malvoisin est tué d'une balle en plein cœur.}}
  
  
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*[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/lib_memh/php/fiche_popup.php?_Base=MPF1418&_Lg=fr&_Fiche=HCneUbJWPgOcd1YD8mf+EQ==&_C=1563960707 Sa fiche mémoire des hommes]
 
*[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/lib_memh/php/fiche_popup.php?_Base=MPF1418&_Lg=fr&_Fiche=HCneUbJWPgOcd1YD8mf+EQ==&_C=1563960707 Sa fiche mémoire des hommes]
 
*{{AD62}}, recrutement militaire, [http://archivesenligne.pasdecalais.fr/ark:/64297/313661540497b3d8 1 R 7138, matricule 1065]
 
*{{AD62}}, recrutement militaire, [http://archivesenligne.pasdecalais.fr/ark:/64297/313661540497b3d8 1 R 7138, matricule 1065]
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Version du 9 novembre 2014 à 19:48

Louis Marcellin Malvoisin est né le 7 août 1885 à Fresnes-lès-Montauban, fils de Marcellin Malvoisin et de Pacifique Dehay. Il était maçon de profession.

Caporal au 233e régiment d'infanterie. Mort pour la France le 4 septembre 1916 à Lihons (Somme), tué à l’ennemi.

Il fait son service militaire en 1916 à Arras. Il est incorporé au 23e régiment d'infanterie colonial à compté du 8 octobre 1906. Arrivé au corp le jour dit et soldat de 22e classe sous le numéro de matricule 1065. Il fût temporairement réformé le 30 aout 1907 par la commion médicale de Paris pour bronchite suspect (HS). À sa demande, il fût rappelé à l'activité le 23 decembre 1907 au 23e régiment d'infanterie colonial par la commission de réforme d'Arras le 17 décembre 1907 et arrive au corps comme soldat de 2eclasse le 23 décembre 1907.

Certificat de bonne conduite accordé. Il est passé dans la réserve de l'armée active le 20 février 1909. Il effectue un première période dans le 23e régiment d'infanterie colonial du 30 août au 21 septembre 1911.

Campagne contre l'Allemagne : Il fût rappelé à l'activité le 3e jour de mobilisation au 33e régiment d'infanterie, arrivé au corps le jour dit, le 4 août 1914 jusqu'au 4 septembre 1916.

Durant le conflit 1914-1918, Louis passe du soldat de 2e classe au grade de Caporal au 233e régiment d'infanterie.

Extraits du livre Historique du 233° Régiment d’Infanterie pendant la grande guerre 1914 - 1918 (Imprimerie de J Dumoulin, 5 rue des Grands Augustins, Paris 1920)[1] :

Le 14 août 1916, le 233e RI est ramené à l'arrière pour préparer une nouvelle attaque. Celle-ci doit avoir lieu dans un secteur connu : Lihons devant Chaulnes ; là où le régiment a occupé à deux reprises les tranchées de ce secteur en 1915 et 1916.

Circonstances de son décès

« L'attaque a lieu le 4 septembre à 14 heures: Les deux premières tranchées sont enlevées assez facilement, mais l'ennemi tient encore la troisième ; le 4e bataillon (à gauche) éprouve des pertes sensibles et ne peut continuer la progression ; à droite, le 5e bataillon enlève la corne sud du bois de Chaulnes. La section Vasseur, en pointe, réussit à enlever 2 mitrailleuses qui arrêtaient la marche des 3 autres sections de la 19e compagnie ; puis, par une progression rapide sous bois, elle atteint la tranchée Guillaume, se rabat en arrière, capture deux nouvelles mitrailleuses en action, qui avaient tiré chacune plus de 10.000 cartouches et permet ainsi à la compagnie de s'établir sur l'objectif du bataillon, distant de plus de 1.500 mètres du point de départ. C'est en capturant une de ces mitrailleuses que le caporal Malvoisin est tué d'une balle en plein cœur. »


Lien interne

Sources

Notes

  1. Livre numérisé par Jean-Luc Arnould sur le site de : Horizon 14-18
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